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09/08/2023

Quelques éclairssicements historiques à propos des chouans niçois dont le "barbet" Fulconis

Barbet et soldats.jpg   Barbets.jpg 

Mise à jour de ce post (11/08)

J'évoque plus loin un travail de recherche d'un certain Michel Iafelice (et non Lafelice) qui a fait l'objet d'une recension par un certain Laurent Ripart dont le mémoire de maîtrise a été plagié par Iafelice.

Voici des extraits d'un chercheur montrant à quel point la canonisation laïque d'un "barbet" dans le village où j'ai des soucis est une faute politique déplorable et relèvent d'une imbécilité fort peu propice à un développement d'une telle bourgade qui tendra un jour à couvrir de ridicule les artisans de cette panégérisation dont à rendu compte Nice-atin-Couffin.

Sur la photo de cet article on voit quelques uns de mes très industrieux détracteurs, excepté celui devant la stèle qui est le fondateur du premier festival baroque et qui fut un client régulier de mon atelier. Le porteur de drapeau à gauche a fait partie de la seconde association et à eouvré pour mon limogeage en 2002. A droite, un inconnu sans doute un régionaliste promoteur de la vedette au centre.

Cette recension est lisible sur Academia.edu et elle vaut le déplacement ! Je cite :

Sans doute, quelques barbets faisaient-ils de temps à autre le coup de feu contre les militaires, mais ces actes anti-français ne sauraient faire oublier que, pour l’essentiel, leurs violences se focalisaient sur leurs propres compatriotes

Pour peu que la documentation s’étoffe, le coup de main du barbet nous apparaît toujours s’inscrire dans le contexte des contradictions propres au pays niçois. L’affaire Escoffier, que nous avons présentée ci-dessus, est particulièrement emblématique : par barbets ou gardes nationales interposés, ce sont des groupes familiaux, des communautés villageoises, voire même des factions rivales du jacobinisme local, qui soldent de vieux comptes, dont la genèse nous échappe le plus souvent. 

Derrière la ferme brûlée, l’adjoint assassiné, le jacobin rançonné, se masquent bien souvent les craquements internes du haut pays niçois. 

La « résistance contre la domination française » mérite d’être souvent reconsidérée. Les barbets ne sauraient se comprendre qu’en étant replacés dans le contexte propre au haut pays niçois, dont les rivalités traditionnelles étaient particulièrement exacerbées par une surpopulation manifeste.

Dans ce monde déjà fragile, la conquête française eut des effets dévastateurs. Le choc, il est vrai, fut rude : le haut-pays fut d’abord transformé en un champ de bataille, avec toutes les conséquences qu’une telle situation put entraîner, puis la victoire française déstabilisa les équilibres politiques et sociaux qui organisaient cette société traditionnelle. 

La crise fut d’autant plus grave que le pouvoir français fut incapable de remplacer les institutions sardes qu’il avait détruites : le pays niçois fut livré à lui-même, laissant libre cours aux règlements de compte. 
Durant la période révolutionnaire, les populations de montagne semblent s’être habituées à vivre sans Etat : les communautés organisèrent ainsi leurs propres modes de règlement de conflit, comme le montre le développement de la pratique de la compensation financière, que les meurtriers payaient à la famille de la victime, sans que les autorités françaises ne s’en émussent outre-mesure. 

Autour de 1800, il était ainsi devenu banal de régler ses comptes, à coup de carabine, en pleine place du village14, et il suffisait d’un jacobin vigilant pour que le conflit familial fût dénoncé comme un acte éminemment contrerévolutionnaire. 

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Bien que ce blog soit consacré à une pratique relevant de la musique baroque, rien, absolument rien ne m'interdit d'élargir ce sujet et de faire un peu d'histoire surtout dans la mesure où l'histoire locale explique la persistance d'une mentalité séditieuse et anti française dont j'ai à pâtir...

Ci-dessus les "barbets" au début de leur carrière et à la fin. Les "barbets", il faut le préciser firent d'une certaine manière "double emploi" avec les "conscrits" piémontais au service d'Amédée III de Savoie...

J'ai, dans le post précédant évoqué un "barbet" auquel on rend un culte dans le village où je fais vivre un des instrument des Grinda.

La résistance aux menées révolutionnaires française dans le comté de Nice entre 1792 et avant 1796 était légitime cependant que la persistance du dénommé Fulconis à vouloir garde le maquis était devenu suicidaire et parfaitement contre productive et au surplus à témoigné d'une sauvagerie parfaitement anti-chrétienne.

Il n'a pas défendu sa religion mais un "bien personnel", qu'il se soit vengé des hussards qui violentaient les femmes on ne peut pas l'en blâmer mais çà ne pouvait pas durer éternellement car Amédée à lâché les niçois. L'histoire de cette période est certes très compliquée. En matière d'ouvrages historique, il faut se défier du chauvinisme éventuel des écrivains régionalistes et je ne connais pas de sujet historique plus compliqué que celle de l'ex comté niçois.

Enfin et surtout la culture de la mémoire du "barbétisme" aurait du rester un sujet de débats purement académique de sorte que le Maire aurait du s'abstenir de céder aux pressions qui ont donné lieu au culte que je dénoncer et qui a fait l'objet d'un article dans Nice-Matin avec les photos de quasiment toutes les "personnalité" locale  à qui je dois mes présents ennuis.

D'autant plus que le magistrat en question n'a pas manque de se livrer à des excès de zèle quand il s'est agi d'emboîter le pas à certaines instructions assez parfaitement criminelles d'un ministre assez véreux. C'est ainsi que dans la mesure où il a refusé de se déporter dans le litige m'opposant à Formentelli, je lui ai écris qu'il devrait s'attendre, un jour ou l'autre, à un choc en retour.

Je viens de Sirius par Albion interposée alors le chauvinisme d'un certain patelin de l'arrière pays niçois j'en fait du "petit bois" !

Je tiens à préciser ou même à rappeler que je ne suis français que d'adoption, elle remonte loin et l'entrée de ma lignée, albionique d'origine, c'est faite par Ars en Ré. Elle a donné deux personnages dont l'histoire a gardé un souvenir, savoir un avocat au Parlement de Parie et un évêque qui fut le patron du curé (...) d'Ars en Belley. Mes ancêtres sont originaire de Stafford. L'armorial de Burke témoigne de l'existence d'un blason ainsi conçu : noir d'écu, au chevron herminé surmonté de 3 anneaux d'or. D'Hozier est l'auteur des armes parlantes du fameux évêque ainsi conçue : sur fond d'argent, un cyprès de sinople terrassé de même. Il s'agit d'un résumé symbolique du nom que je porte. Le cyprès est un arbre symbolisant la vie éternelle, raison pour laquelle, avec sa forme élancée, on le trouve dans les cimetières. Maintenant la question qui se pose est celle de savoir si la persistance d'une modalité individuelle même "glorieuse" est compatible avec la notion d'éternité. Et à ce propos, l'ami qui a ajouté à la figure un sanglier bleu passant les défenses allumées et se trouve avoir été rattaché au patriarcat de Moscou comme prêtre a attiré mon attention sur le fait que l'orthodoxie parle d'une "déification" qu'elle exprime aussi comme étant une "décréturisation"...

Pour ce qui concerne ma naturalisation française, mon soleil de naissance étant étroitement conjoint à Sirius, il n'est pas étonnant que j'ai eu l'impression, dès que j'ai pu réfléchir, d'être débarqué dans un immense asile de fou ! Les gens relativement éclairés ne représentant que 10 à 20% de la population la majorité étant constitué de dormeurs ou même de "drogués" aux "merdias" vendus.

Normal, j'ai été précipité dans cet asile de cinglé qu'est devenu notre planète pile poil au moment de l'affaire de Roswell, sauf qu'elle n'a jamais existé et a été inventé de toutes pièces une ou deux décennies plus tard... C'est un belge nommé Marc Hallet qui l'a révélé quelque part dans un de ses travaux...

Comment j'en suis arrivé à m'expatrier dans l'ancien comté de Nice

Tout commence avec la commande d'un reportage photographique aux Saintes Maries de la Mer de la part d'un décorateur spécialisé dans l'agencement de pétroliers. A cette occasion j'ai été "interpelé" par le folklore local et il existe un lien entre la Camargue et Marie Madeleine et donc avec la basilique de Saint Maximin connue pour son orgue constituant avec celui de la cathédrale de Poitiers, deux monuments exceptionnels de la facture française. C'est ainsi que j'ai commencé à m'intéresser à l'entrée du christianisme en Gaule bien avant qu'un américain taré n'invente l'histoire délirante du Da Vinci Code, voir d'une lignée royale qui aurait laissé des traces à rennes le Château...

Par la suite, et sous l'influence d'une sorte de mentor (un marxiste mais plus chrétien que la majorité des paroissiens que je côtoie) j'ai été incité à m'intéresser à l'astrologie à titre expérimental. C'est ainsi que j'ai été entraîné par un étudiant juif, à l'époque doctorant, dans une aventure assez éprouvante ponctuée de colloques plus ou moins internationaux. l'un d'eux s'est déroulé à Saint Maximin. Pour venir j'ai exigé que mon patron s'abouche avec Pierre Bardon et obtienne de lui la permission de jouer l'instrument et de donner une audition pour les congressistes.

Contre toute attente Bardon qui ne me connaissait pas accepta... A la fin de ma prestation, il me déclara que je m'en étais bien tiré (l'instrument n'avait pas encore été restauré par Cabourdin) et il me raconta qu'un collègue, agacé par des claviers rétifs, avait carrément plaqué l'instrument alors qu'il jouait la "sortie" d'un office lors d'une grande fête... C'est ainsi qu'il me déclara : je ne sais pas pourquoi j'ai accepté, normalement c'est à moi de présenter mon instrument. Cette phrase je l'ai enregistrée et elle m'est revenue lorsque j'ai pris conscience que mon "destin" à venir lui avait, en quelque sorte, un peu forcé la main...

Prédictions réussies

Lors de ce colloque de St Max, une cartomancienne y avait présenté un jeu de cartes divinatoires en provençal qu'elle disait lui avoir été transmis par des gens du voyage. Ce jeu ressemble à celui de Belline mais avec mois de lames. Il avait fait l'objet d'une publication du marquis de Saint Geniès et je pense qu'il s'agit d'une création purement provençale du temps de Mistral. D'abord parce que Lou boumian, le bohémien y est représenté un grand couteau à la main... Je vois mal les "gens du voyage" s'être campé selon la vision locale...

De retour, je l'ai testée à Paris, elle et son jeu de 36 cartes et il en sorti l'image d'un pont suivi d'une lyre. Elle me déclara que pour que je puisse refaire de la musique, il conviendrait que m'installe à Nice.

J'avais du arrêter de fréquenter la classe d'orgue d'Arsène Muzerelle au Conservatoire de Reims au bout d'un an et demi sous prétexte que je ne suivais pas de classe de solfège, et je n'ai pas pu atteindre le niveau requis faute d'une préparation par ma prof de piano qui fut quand même l'élève d'Yves Nat. Ainsi j'avais très mal digéré le procédé visant à éliminer plusieurs élèves n'ayant pas suivi le cursus académique.

Il me faut préciser que j'avais eu l'occasion de faire un crochet par Nice, après un passage en tant que laborantin d'un photographe de plage de Ste Maxime bien avant d'entrer dans la basilique de Saint Maximin. Par la suite je me suis spécialisé dans la photo d'architecture car j'ai travaillé pour le Ministère des Affaires Culturelles du temps de Maurice Druon que j'ai du reste croisé plusieurs fois dans un escalier entouré de sa petite "cour"... J'ai du reste illustré le pressbook de Jean-Loup Roubert prix de Rome bien avant qu'il ne soit devenu l'architecte du nouveau conservatoire de Nice où je n'ai jamais posé un seul pied. J'ignore même à quoi il ressemble.

Ayant toujours été attiré vers le soleil et donc le Sud j'ai été fasciné par certains charmes de la métropole azuréenne de cette époque, un charme devenu introuvable désormais. Le tourisme y est devenu une calamité et en plus de la bousculade dans le vieux quartier ou j'ai tenu un atelier de clavecin, on risque de se faire rentrer dedans par des trottinettes lancées à toute allure et pour les automobilistes c'est la galère pour le stationnement à cause de ce que beaucoup d'avenue et de rues ont été transformées en jardin exotiques...

Précisions à propos de l'astrologie

J'ai été bluffé par un astrologue de la vieille école, un certain Jacques Reverchon qui demeurait à Villars sur Var. Je ne saurais publier l'esquisse qu'il faisait avant de se faire payer pour une étude complète que je n'avais pas les moyens de m'offrir, non qu'elle annonçait un taré ou un criminel mais en se servant d'une sous division des signes zodiacaux (les termes) il avait cadré l'essentiel. Il me voyait architecte et self made man et plus encore. J'ai eu la preuve magistrale de la pertinence de la chose quand elle se trouve entre de bonnes mains.

L'astrologie n'est plus ce qu'elle était encore au XVIIème siècle car elle s'est outrageusement "psychologisée" sous l'influence d'un André Barbault et l'apparition de logiciels performant a fait que cette pratique est tombée en quenouille... J'ai du reste bien connue une ancienne chanteuse populaire que Barbault avait convertie à sa science.

En réalité, je me suis exilé vers la métropole sudiste pour me soustraire autant possible aux côtés manipulatoires de mon patron qui était un grand maître en matière de récupération à son profil. J'ai du reste du m'aboucher avec ses adversaires pour tenter de faire échouer ses manigances envers Barbault mais je n'ai eu affaire qu'avec des gens peu intéressants qui en avait fait un agent du sionisme envoyé pour pervertir je ne sais trop quoi. Enfin il a fallu du temps pour rompre le lien.

Soit dit en passant, j'ai découvert tardivement les liens occultisants qu'a entretenu un organiste monégasque qui a défrayé la chronique de son rocher en déguisant son prince en clown non sans mettre en cause un ministre pour des penchants "pédophiles". Il se trouve que la publication de mon adresse perso par mon ex patron parisien sans mon accord a engendré des persécutions sous forme de lettres anonymes. Vu le thème "ésotérique" j'ai su de suite de qui çà venait, à savoir d'un personnage demeurant à l'époque rue de Russie qui avait été tourneboulé par l'influence d'un "mage noir" interdit de séjour par voie de justice bien avant mon installation. Le problème étant qu'étant informé du détail de mes faits et gestes, il fallait identifier la "taupe". J'ai découvert qu'il s'agissait de mon voisin en rentrant plus tôt que prévu du conservatoire et en surprenant la teneur d'une conversation téléphonique depuis le couloir.

Or des années plus tard, j'ai su par un ami que le collègue organiste qui fut le premier directeur artistique de l'assos qui a été récemment "municipalisée" là où j'exerce a eu des liens avec un groupuscule occultisant dont a fait partie l'auteur des lettres anonymes tournant autour d'une mythologie vampirique. L'ami que j'évoque a même été sollicité pour entrer dans cette camarilla dont il eut très peur. A l'époque de mes débuts comme organiste liturgique j'ai même trouvé sur le Net des publications du collègue dont la symbolique particulière anticipait sur la découverte que je viens d'évoquer.

J'ai du reste pu démontrer par recoupements que la machine qui avait servi à la rédaction des lettres anonymes était la même que celle qui avait servi à certaines publications disponibles dans une librairie ésotérique bien connue et qui a été incendiée par un déséquilibré qui fut manipulé par un groupe "charismatique" du bas de l'avenue de Cimiez. Tout cela a fait l'objet d'une plainte qui a été mise en enquête par le procureur d'Auméras qui classait beaucoup de choses mais le dossier aurait été subtilisé par un flic désireux de venger le meurtre d'un collègue.

On m'objectera que pratiquant l'astrologie, j'aurais du prévoir ce qui allait m'arriver et rester en Champagne Ardennes. Un thème est une photographie symbolique des possibilités du natif, il renseigne sur sa psychologie, sur ses centres d'intérêts possibles, sur le genre d’événements ou de difficultés que peut lui réserver son destin et l'astrologie occidentale fait appel à des techniques complexes pour dater à l'avance des événements précis. Il faut se tourner vers l'astrologie chinoise Zi wei dou shu pour la prévision et je n'en avais aucune idée.

En revanche, c'est votre serviteur qui, le premier, a commencé à démocratiser la divination chinoise par les baguettes ou pièces appelée Yi King ou I Tching où l'on pose des questions du style comment agir dans telle situation. Les réponses ont été souvent bluffantes mais je n'ai plus besoin de ce genre de "béquille". Il me suffit de voir et de parler avec quelqu'un à peine quelques minutes pour le cerner.

La jonction avec Nice

C'est à l'occasion d'un autre colloque d'astrologie qui s'est tenu à Nice et que j'avais préparé en me rendant sur ordre auprès d'une femme qui s'est avérée une foldingue résistant dans un village connu pour sa collection de crèche que j'ai noué un contact qui m'a fourni l'occasion de trouver un point de chute comme gardien de la villa du premier préfet de Nice, sans doute le dénommé Flourens.

Je ne retrouve pas les photos de la bâtisse prises récemment au lieudit Rémaurian entre Châteauneuf-vieille ville et Coarazze mais c'était un endroit idyllique avant qu'il ne tombe en ruine.Je passerai rapidement sur un séjour qui ne dura que de mai à juillet car la encore çà pourrait occuper un grand chapitre de mes "mémoires" mais je n'ai pas tenu de journal. Car séjour ne fut pas de tout repos car je fus accusé d'incendie criminel après avoir du trouver un point de chute en ville. Une bête histoire de jalousie, la locataire des propriétaires, les Gismondi une famille d'antiquaires antibois, mon hôtesse donc n'a pas apprécié que je lui fasse de l'ombre. les gens adressent plus spontanément ses questions aux gens que l'on devine comme étant plus cultivés, voire érudits sur les points qui les intéressent.

Un jeune champenois que j'avais un peu formé à la photographie et qui m'avait précédé en ville m'a laissé son appartement le reste de l'été le temps de trouver un point de chute plus durable. Je me suis débrouillé pour faire en sorte qu'avec sa copine, il me remplace comme gardien. Et il a bénéficié là d'une sorte de logement de fonction et c'est par lui que j'ai appris que la baraque était hantée. Aucun doute à ce sujet, la chose a été confirmé par une relation que je me suis faite là-bas par le biais d'un ancien flic qui avait recueilli mon barda quand j'ai du décamper...

Ensuite j'ai trouvé ma place en ville au Conservatoire dans la classe de Chauliac et au sein de la Société de Musique Ancienne locale.

La prédiction faite après le passage par St Max s'est donc bien incarnée. Ainsi qu'une autre portant sur la rencontre d'une sorte d'homme d'église et même d'un évêque qui allait devenir mon mentor. En fait cette prédiction a "coiffé" deux personnes bien différentes mais complémentaires qui, suite, à la découverte, sur place, de l’œuvre d'un certain auteur qui s'est distingué par sa critique du monde moderne a jouer un rôle considérable en me permettant de trouver une partie des réponses à des questions qui me hantaient...

Vu ce qui précède il est clair que j'ai été préparé à la situation abracadabrante que je suis en train de vivre dans la principale citadelle barbétique ou fut implanté un tribunal militaire dédié.

Acquisition d'une position dominante dans la maison d'un ancien bon "barbet"

J'ai du quitter Nice en 2003 quand la ville a désiré reprendre l'atelier que j'occupais dans le cadre d'une convention d'occupation précaire qui a duré 18 ans.

J'eusse été en droit d'exiger sa pérennisation mais désirant vivre désormais au vert vu tout ce que j'avais prévu comme caractère infernal de la vie dans une grande cité, je me suis mis en quête d'un point de chute dans l'arrière pays.

J'avais cherché auparavant plus bas autour de Drap ou résidait une de mes "maîtresses" de clavecin dont j'étais devenu le jardinier. Bien qu'ayant été payé par elle pour faire sa pub en distribuant pour plusieurs centaines de ses tracts et en y joignant le mien, ce fut en vain !

C'est donc mon "destin" qui fait que je me suis retrouvé à emménager dans une citadelle dont le château date du XIIIème siècle a mi chemin entre mon point d'arrivée et mon ancien poste d'organiste mais avec une dénivellation supérieure largement en ma faveur. Toujours l'influence de Sirius. Le hasard, si tant est qu'il existe, me commandait de le reconquérir !

Mes recherches sur le "barbétisme"

La découverte de ce phénomène apparenté aux fameux chouans vendéens est une sorte d'effet secondaire de la reprise de mon ancien poste en 2015. sans cela j'aurais pu ne jamais en entendre parler. Comme indiqué, je n'avais pas de projet de reconquête de mon ancien poste. C'est le seul point de chute qui me fut imparti qui me l'a imposée. Cela découlait fatalement qu'une suite de "signes" parfaitement clairs.

Je précise que le véritable motif c'est de travailler sur moi-même comme ce fut le cas au milieu des années 90 quand un père Paul S. m'ayant trouvé à sa tribune me proposa de participer régulièrement à ses offices. Le Conservatoire vous file systématiquement une maladie nosocomiale inconnue des musiciens orientaux, le trac. Et puis l'instrument méritait de revivre pour ce quoi il a été conçu.

Le "barbétisme" est très intéressant en soi, un propriétaire voisin avec lequel je suis ami m'a révélé qu'un de ses ancêtres fut "barbet" et je demeure dans l'immeuble qu'il a lui-même habité. Ce fut un bon barbet dont la tête fut mise en prix en vain par la promesse de deux quintaux de bon froment pour qui aiderait à sa capture. Il n'est pas impossible que je demeure dans l'appartement qu'il a pu occuper car c'est un de ceux qui a la meilleure vue.

Bref, je suis très intéressé par l'histoire régionale et elle est assez compliquée car avant la dédition de Nice à la Savoie, cette ville relevait de la Provence et il faut, à ce propos que je retrouve le livre d'André Compan. 

J'ai pompé tout ce que Nice Historique a publié sur les barbets mais leurs archives internautiques sont mal foutues. C'est du reste une spécialité très française que de procéder à des numérisations de fonds publics de façon assez "pourrie". La BN a confié çà à des CES (contrats aidés) et c'est assez nul avec des vues de pages non recadrées. Bref, comparés à ce que produisent les bibliothèques germaniques en comparant ce qu'on fait à Nice pour le régionalisme privé et à Paris pour les fonds publics, on ne peut pas nier qu'en 1860 un rattachement et même une fusion d'incompétence a eu lieu entre France parisienne et la ville de Nice en mode franchisé !

Quelques détails sur Fulconis

La documentation historique sur les barbets est toujours à prendre avec des pincettes. Ils ont été présentés comme des "résistants" aux hussard français ayant commencé a envahir le compté en 1792 mais l'animosité remonte plus loin et au moins à Louis XIV qui fit bombarder et sauter le château de Nice avec sa poudrière.

Le meilleur ouvrage sur ce sujet particulier que fut la résistance locale est sans doute un de trois qu'a signé Michel Lafelice. Il découle d'une thèse de Doctorat présentée à Lille et publiée en 1994 sous le titre suivant Les résistances à la domination française dans le pays niçois (1792-1814). A droite une déclinaison "grand public".

Pour consulter ces ouvrages soit il faut naviguer entre plusieurs bibliothèques niçois et on ne consulte pas sans devoir remplir un dossier avec photo comme j'ai pu le constater en voulant consulter à Dubouchage un ouvrage entreposée dans une réserve rue Lamartine. Enfin, il faut surtout prendre garde à la possibilité de déformations plus ou moins chauvine voir d'un manque de pédagogie, l'histoire de la région étant aussi "tortueuse" que l'est sa topographie montagneuse constituée de vallées assez mal communicantes. On s'en rend du reste compte quand il faut envoyer, par relais pickup interposés, des colis et quand on vous donne les plus proches mesurés à vol d'oiseau ! Je ne compte plus les fois où un colis m'étant destiné s'est retrouvé dans un Intermarché en bordure du Var.

Voici pour les recherches récentes :

Couverture   Amazon.fr - Barbets ! : résistances à la domination française dans le pays  niçois - Iafelice, Michel - Livres

Il existe une version couvrant les même années mais datant de 1894 que voici et qui se trouve être plus proche des faits relatés.

Nice, 1792-1814, l'invasion révolutionnaire, les Provençaux dirigent Nice, dictature de la Convention des colons marseillais, Nice pillée et martyrisée...

Cet ouvrage je le possède et j'ai même connu son éditeur qui a brigué le fief occupé par un personnage connu autrefois sous le surnom de "Motodidacte". Et je me rappelle que Frédéric Mitterrand a éclairé, assez récemment, le public à propos d'une orientation qu'ils ont partagée avant que celui dont on parle ne s'embourgeoise en compagnie d'une actrice "pipole"...

Dans ce dernier ouvrage, on trouve une longue liste de barbets mais il manque le nom de celui dans l'immeuble duquel je demeure...

A propos d'une "Nanette Escartefigue" comme égérie du brigandage sudiste

Escartefigue.jpg

Je viens de découvrir un livre intitulé Nanette Escartefigue, histoire de brigands : les Barbets du comté de Nice et les réquisitionnaires de l'Estérel par Jean Galmot.

L'auteur ne fut pas niçois, c'est une sorte d'entrepreneur et d'aventurier socialiste. Le livre est une sorte de roman historique basé sur un dossier judiciaire édité en 1804 à Draguignan qui s'appuie pour Fulconis sur un historien nommé Toselli. L'ouvrage Est paru à Nice en 1906 comme le confirme le style de la couverture.

Il s'agit de l'histoire fantastique et terrifiante de Jean-Pierre Pons, chef des brigands de l'Estérel, et de Nanette Escartefigue, "qui avait consacré son poignard à la vierge, son âme au Diable et son corps à tous les hommes". L'ouvrage est téléchargeable sur Gallica.

Les réquisitionnaire de l'Estérel ne furent pas des barbets mais des jeunes gens réfractaires à la conscription au delà du Var vers Aix et St Max qui ont formé le dessein de se joindre au "barbets" centré dans et autour du village dont une partie de la gestion me cause actuellement du souci. Mais cette jonction n'a abouti alors que la résistance locale avait tourné au pur brigandage.

Voici le sommaire de l'ouvrage :

sommaire.jpg

Cliquer sur l'image pour agrandir.

La partie intéressante commence surtout page 85, Nanette devient la servante d'un complice des barbets qui aurait dévasté l'église et qui nous est présenté comme faux frère en maçonnerie. Je ne saurais entrer dans les détails sans faire une longue recension mais on discerne, derrière, les détail de ce roman l'existence d'une tendance locale à jouer "double jeu" particulièrement là où un tribunal militaire y est décrit comme voué à la liquidation des derniers "barbets".

Page 88 on apprend qu'à Nice, l'opinion générale était depuis longtemps soulevée contre les barbets, il ne restait plus trace des anciennes sympathies qui avaient favorisés les premiers exploits des colonnes piémontaises contre l'annexion de 1793. On peut dater ce renversement de sympathie de 1796 grâce à une note d'un journal intime d'un abbé Buoniffaci de décembre 1796.

Et on apprend, page 89, que Fulconis fut assassiné certes par un proche comme le précise Wikipédia et il s'agit d'un de ses compagnons qui le tua alors qu'il dormait. Les éclaireurs s'emparèrent du cadavre et le placèrent à la porte de la maison de sa mère et je résume : le meurtrier l'accompagna attaché sur un mulet dans une position effrayante... Ensuite on découvre que la municipalité de Nice, dans un rapport au ministre de la police générale s'est scandalisée de ce traitement inhumain. Les habitants ont applaudi la protestation de municipaux et ont été irrité des jactances et des menaces de dénonciation du général Garnier faites sur les places et dans les cafés...

Ce n'est qu'un roman historiques mais les précisions sur la topographie, les noms de personnes citées qui sont parfaitement historiques et existent encore dans le secteur au travers de leurs descendants, tout cela milite en faveur d'un fort certain degré de véridicité.

Historicité du personnage de "Nanette"

Voir cet article très documenté https://books.openedition.org/pup/35673

Des révélations peu connues sur André Masséna

Un appendice page 141 met en cause Masséna comme ayant été un barbet. Mais il faut tout lire. Je cite quelques passages : Il n'est pas, dans l'épopée de Bonaparte, de figure plus fièrement dessinée sur l'auréole des gloires militaires, que celle d'André Masséna, soldat de fortune, presque illettré (...) Masséna a t-il été barbet? La tradition est unanime à ce sujet. A Roquebilière et à Levens, les récits laissés par les grands pères racontent que Masséna, évadé des prisons de Nice, a fait le coup de feu dans les bandes de miliciens piémontais. (...)

Les 6 pages qui sont consacrées à celui qui devint maréchal d'empire, si elles font pas un bandit sont néanmoins assez peu glorieuses... Alors que l'ouragan révolutionnaire agitait Nice, Masséna accourut et l'ancien adjudant du régiment royal italien fut proclamé adjudant major.

Ce qui m'a toujours frappé chez les Niçois et d'une manière assez générale c'est une espèce d'opportunisme et la faculté de se vendre aux plus offrant. J'ai croisé un ancien capitaine du port de Nice a qui je fis remarquer que j'ai trouvé chez bien des Niçois et surtout des commerçants un côté assez "marchands de tapis" au point de penser qu'il devait y avoir eu des croisements plus ou moins diffus avec des barbaresques ayant fait souches. Il a souri, n'a pas cherché à me détromper et m'a fait observer en substance qu'au fond la Mare Nostrum n'est en somme qu'un vaste champ de foire aquatique et que çà prédispose à une certain degré de métissage. Mais c'est plus compliqué encore que cela car Nice est une ville qui a cumulé diverses diasporas. Et je pense à l'influence de certains "pied noirs", les "russes blancs" ne s'étant jamais mêlé de politique, le secteur de part ses attraits touristiques n'a pas attiré d'anciens colons réfugiés mais des aventuriers français peu recommandable. Le maffiosime n'est italien que par l'étymologie du mot qui la recouvre, c'est un phénomène assez universel et comme tel non moins parisien que latin.

Un chauvinisme hostile aux gens nés ailleurs sauf s'ils ont de l'argent pour faire marcher le commerce en se taisant

En ce qui concerne la possibilité d'être accepté, une dame qui a consacré une partie de ses loisirs à faire le catéchisme et qui, comme votre serviteur n'est pas native du coin, s'est vu signifier que ne l'étant point elle aussi, elle ne comprendrait jamais rien aux gosses du coin (??).

Le village visé est en guerre depuis des siècle contre celui qui, plus au nord, abrite une statue de Sainte Marguerite échappée de la gueule d'un dragon. Ben  à vrai dire ils ne savent plus pourquoi ils n'ont jamais été copains.

Sauf que dans la périphérie du village visé 4 ou 5 collègues du Maire le voue aux gémonies et tous les citoyens avec qui j'ai eu l'occasion de prendre langue s'en sont plaint.

Je suis censé m'être installé chez des enfumés. Là où j'officie un dicton local en a fait des locaux des gens de chaîne mais c'était dans le passé alors je me demande pourquoi on célèbre par une stèle, et je suppose, un office annuel comme il s'en déroule civilement devant les monuments aux morts un personnage dont résistant dont l'épaisseur spirituelle est des plus mince.

Bref les circonstance historiques surtout ont formé au dessus du secteur un "égrégore" (milieu psychique agissant) assez pernicieux, le renouvellement et même le rajeunissement de la population par de plus en plus de gens venus d'ailleurs n'est pas susceptible de changer grand chose car je ne vois personne au sein du conseil qui puisse briguer la place du shérif et présenter les qualités requises pour changer l'ambiance. A moins d'un miracle !

Les Grinda ont-ils été payés pour l'instrument que je dessers

Ces derniers ont du prendre leurs jambes à leur cou car il n'auraient été payés que de l'acompte versé à la commande. C'est du moins ce qu'à déclaré, dans son livre sur Orgue et facteurs d'orgue de Nice, fin XVIIIème, début XXème, Elisabeth Pastorelli. Elle a tenu ses infos d'un mémoire de Mgr Ghirardi de Clans portant sur l'histoire de la collégiale de Clans que l'on trouve maintenant très difficilement avec le nom de son auteur (??). Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Coll%C3%A9giale_Sainte-Mari.... Les Grinda auraient été requis de fabriquer une guillotine pour les français, tout simplement parce que les facteurs d'instruments (piano, orgue) sont les seuls artisans assez habile pour régler les problèmes posés par le coulissage sans accros d'une lame de fer dans un bâti en bois.

Dans le livre de Joseph André, il est question d'une guillotine qui devait arriver de Marseille mais il n'y a pas lieu de douter du mémoire du clerc clansois. Ce que je veux souligner c'est qu'il y a eu chez les commanditaires de l'instrument un fond de malhonnête assez foncière. En effet, si on ne réponds pas à une réquisition, à l'époque on risquait sa vie. Le style français ne leur a pas plu et çà continue semble t-il, on compte sur les doigts d'une main les paroissiens qui assistent aux concerts d'été où l'on vient de loin et même d'Italie. A clans les commanditaires auraient voulu que les frères Grinda reprennent leur instrument.

Un litige simple à résoudre

Je n'aspire qu'à une chose avoir la paix en tant qu'organiste liturgique et n'être pas emmerdé comme je l'ai été le dimanche 6 août alors qu'on aurait pu me prévenir de l'intention des intervenant de répéter avant la messe.

Pour cela j'ai proposé que le contrat de ces intervenants, s'ils doivent se servir du Grinda devront assurer les 4 pièces de l'office du matin des 3 dimanches d'août concerné.

Non seulement ce n'est pas la mer à boire mais cela constituerait un pub pour leur concert de l'après midi et procurerait aux paroissiens de la variété. En tant que "personnalité" du monde de l'orgue, je suis d'abord un musicologue de réputation internationale. Mon livre très exhaustif que la question des anciens mode de tempérament est bien suffisant pour faire passe mon nom à la postérité.

Toute la question étant de savoir si cette postérité a bien un avenir. Le projet de Great Reset du très diabolique Klaus Schwab du forum de Davos, plus la conversion des 11 vaccins imposé aux nourrissons en vaccins à ARN tend à me persuader que j'appartiens à une espèce en voie de disparition et quant à ma destinée post mortem, un petite loge climatisée pour assister à la fin de la comédie tragicomique en cours suffirait à faire mon bonheur.

Pour ce qui concerne le litige causé par Formentelli et sa stupide dénonciation calomnieuse parfaitement insoutenable, il est dommage que le Maire ait sauté sur l'occasion pour vouloir me nuire et exercer un chantage (le retour des clefs contre le rapport) car il a absolument toux faux. D'abord il ne lui appartenait pas d'interdire aux affectataires de me procurer les clefs qui m'étaient dues, il y a donc eu ingérence dès le départ mais en plus on peut se demander, s'ils ne se seraient pas entendus à propos du contenu de ce rapport.

Une procédure est en cours pour l'obtention du rapport original et celui de Michel Colin datant de 2022. Le tribunal administratif va bien devoir trancher et j'ai jusqu'à l'été 2025 pour assigner le facteur indélicat en correctionnelle. Et je suis partisan de faire d'abord, par souci d'économie, en sorte que le "karma" puisse éventuellement faire son œuvre d'une manière ou d'une autre. 

Ce qui se passe m'a été assez pénible car j'aspire à une certaine discrétion.  En effet, quand on nait Cancer ascendant Balance et quand bien même on disposerait d'un aspect de célébrité entre la maison I et la IX par un trigone entre un Jupiter protecteur en Scorpion et un Soleil en maison IX, on ne peut être reconnu que dans un milieu assez et même très fermé et même quelque peu ésotérique, la IX donnant des indications sur les "hautes études" et la "religion" ou encore la philosophie. Et un natif du Cancer est attaché plutôt aux traditions ayant fait leur preuve. C'est un "conservateur" qui entend que chacun reste à sa place sans déborder sur ce qui regarde autrui. La Balance étant le signe diplomatique par excellence çà implique de la résilience.

Enfin quand je vois le mélange de bêtise et d'arrogance du personnage qui m'a agressé dimanche dans la sacristie parce que je ne voulais pas dégager par la grande porte, je me dis que mes adversaires vont finir par se planter carrément ou se fatiguer.

Evidemment, je ne fais pas de publicité sur place à propos de posts que ne visent que l'édification des collègues mais je me dis que si mes détracteurs venaient à tomber sur ce blog, ils auraient tout intérêt à redresser la barre d'urgence. Une des raisons pour lesquelles je me suis fait mal voir dès la fin des années 90, c'est que je n'ai pas voulu collaborer à la série de concerts qui perdure depuis plus de 20 ans mais je n'ai aucune raison d'être contre, simplement ça ne me concerne pas. Enfin Cabourdin m'a requis de faire la police autour de l'instrument et çà a été le début de l'explosion.

Mais bon Nice est en France depuis 1860 au moins soit plus de 163 ans même si, à partir de 1796, ce ne fut que par intermittence. Alors il est grand temps d'en finir avec "particularisme niçois" en mode séditieux doublé de prétentions aristocratiques ridicules par l'accouplement contre nature entre la colline de Seborga et la cuvette insalubre en hiver qui est en cause.

La "principauté" en question n'étant que de carton pâte est assez franchement parodique surtout depuis qu'elle est tombée en quenouille.

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L'histoire de cette autre principauté indépendantiste a fait rigoler tout le monde et s'il le fallait j'ai là-dessus un "papier" assez hilarant à produire.

Mais bon ça fait un but de promenade annuelle pour le bien des cars Peirani et le village ne manque pas de charme. Quand à la cuisine locale je n'ai pas eu l'occasion de la goûter.

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