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07/06/2023

"Dénonciation calomnieuse" de Michel Formentelli : le moment est venu de lui demander des comptes !

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L'affaire que je vais évoquer comprend plusieurs aspects bien différents qui sont les suivants :

L'existence dans le village hébergeant le Grinda d'une mentalité "chauvine" accompagnée d'un "clientélisme" en matière politique hostile aux intervenants qui ne sont pas "de souche" d'où mon impopularité en Mairie dès mon premier ministère de la seconde moitié des années 90.

Ce "chauvinisme" présente dans le village en question un caractère particulièrement "inflammatoire" qui découle de circonstances socio-historiques remontant à la période 1792-1799 ayant donné lieu à un culte annuel d'une sorte de "chouan" local, un "barbet" nommé Lalin.

En outre, le village de par sa topographie en cuvette et la rupture de son "Assise" est "maléficié", au moins en certaines de ses parties par un "Feng Shui" très défavorable qui a sans doute contribué à la férocité des du "barbétisme" et au "chauvinisme" qu'ont j'ai souffert. Le site est barré au Sud ce qui n'incite par à la moindre ouverture spirituelle.

J'ai eu contre moi René Saorgin du fait que j'ai du le remettre à sa place lors d'une certaine ingérence.

Le Maire a commis lui-même une ingérence en violant le droit des affectaires en tant que conservateurs locaux de l'instrument seuls compétents quant à la détention et gestion des clefs d'accès à l'instrument de telle sorte que j'ai du me rendre tributaire d'un contrat signé en Mairie pour pouvoir exercer dans des conditions à peine normale puisqu'il m'a fallu attendre qu'arrive l'affectataire actuel pour disposer de la totalité du trousseau me permettant d'entrer dans l'édifice par la sacristie.

La forfaiture du jeune Formentelli étant venu se greffer sur ce contexte local poisseux en août 2019 : il a profité d'un bris du registre de prestant pour m'accabler et me charger d'une accusation d'avoir commis dans l'instrument 5396 € H.T. de dégâts pour se venger d'avoir fait mention en juillet 2014 d'une magouille dont il a bénéficié pour intervenir à St Guilhelm, magouille ayant consisté en ce qu'un particulier a œuvrer pour faire mettre Roland Galtier sur la touche en le remplaçant par un technicien plus malléable.

Il se trouve que je n'arrive pas à obtenir du Maire et/ou de la Drac les pièces nécessaires (rapport accusatoire à la Drac et rapport de visite de contrôle de Michel Colin) pour mesure l'étendue de la vilainie de mon collègue et m'en défendre. Parce qu'évidemment, en France, les notables et certains services administratif constitue une "caste" qui n'aime pas qu'on leur demande le moindre compte.

Le 17 juin partira en direction du Tribunal administratif un recours pour excès de pouvoir afin d'obtenir la communication des pièces. Cependant vu le délai d'instruction de ce genre de procédure, il me faut dès maintenant introduire une plainte au pénal pour dénonciation calomnieuse pour ne pas encourir le risque de la prescription qui est de 6 ans en la matière. L'accusation est si rocambolesque que le délit se trouve matérialisé par deux lettres recommandées du Maire, la première en date du 7 août 2019. Colin n'a du rendre son rapport qu'en 2022.

Je ne vois pas comment Formentelli, qui s'est comporté comme un parfait idiot, pourrait échapper à cette procédure croisée d'autant plus que je suis, en tant qu'ancien expert judiciaire et donc ancien "auxiliaire de justice" connu par un ouvrage technique que les 7 techniciens conseils et les facteurs sérieux se doivent d'avoir comme "livre de chevet" pour la question des anciens modes d'accord inégaux.

Cette affaire m'est assez pénible et j'ai voulu en exposer tous les aspects. Mon propos mériterait sans doute d'être synthétisé malheureusement je n'ai pu faire appel à l'aide de mon regretté collègue et ami Paul de Métairy, un exilé politique belge, excellent organiste de pas loin d'un demi siècle d'expérience et grand procédurier devant l’Éternel car il a été récemment "exterminé", non pas par le coronavirus chimérique qui a circulé ces dernières années mais bien par une troisième fléchette signée Pfizer un des prétendus antidotes dont l'usage se solde par une surmortalité et une sous natalité de plus en plus criante qu'en France particulièrement on nous cache soigneusement.

Est-ce un effet de la "justice immanente" ? La secrétaire de Mairie qui, le jour de ma fête, le 8 août est venue m'annoncer la nouvelle à la tribune (alors que j'étais de service très exceptionnellement pour le culte d'un saint plus exotique) a vu sa mère ou sa tante périr d'un infarctus massif suite à une piqure administrée par son patron qui est médecin.

Je veux dire par là que si la Justice humaine ne faisait pas son travail, Michel Formentelli aura quand même du soucis à se faire car il est écrit non seulement que qui sème le vent récolte la tempête mais qu'en outre qui trop veut embrasser mal étreint !

La plainte pénale partira probablement dès demain par courrier recommandé au Procureur avec mention d'une suspicion de complicité envers le Maire. J'ai tenté à plusieurs reprises de l'inciter à se déporter et j'ai délégué en vain le Maire de ma propre commune de résidence qui a essuyé une refus ferme et définitif. On va donc voir si cette affaire est une "baliverne" comme il l'a prétendu et s'il est au dessus des lois.

Je demande à mes chers collègue de faire à celle-ci la plus large publicité mais en s'abstenant s'ils venaient à y faire référence sur ne Net à taire le nom du village et celui du Maire. Les indigènes ne s'intéressent pas à leur "trésor", je n'ai jamais vu un seul paroissien aux concert d'été excepté mon collègue de choeur. Et je n'ai pas vocation à m'immiscer dans la politique d'un patelin qui s'est illustré en décembre dernier par un drame retentissant savoir les suites d'un lynchage.

Il est à noter j'ai été un des patients du Maire en question qui est toujours médecin et qu'il m'a soigné pour des troubles cardio-vasculaires assez graves. Je crains que son intention de me nuire en ayant sauté sur l'occasion fournie par Formentelli pour essayer de me limoger ne soit que trop évidente. Ce personnage est détesté par beaucoup de ses administrés et je ne serais pas étonné que sa carrière se termine mal et les présages que j'ai notés ne sont pas en sa faveur si j'en crois le contenu des "degrés symboliques" en conjonction avec nos soleils nataux ! Il n'aurait jamais du se lancer dans la politique. Sa propension à se mettre toujours en avant et à multiplier les casquettes n'est pas chose anodine pour un bon psychologue.

Le village qui abrite le Grinda constitue un cadre assez maléfique et a été récemment celui d'un drame asses choquant

Tous les villages de l'arrière pays niçois ont leurs histoires sauf que celui dont il est question a battu tous les records en ce domaine. Et ce qui s'est produit le 12 octobre de l'année passée ne m'a absolument pas surpris vu les résultats d'une enquête commencée peu de temps avant mon limogeage en 2002.

Au culte séditieux d'un "barbet" de peu d'épaisser spirituelle il faut ajouter le jumelage, savoir un "accouplement" d'une cuvette insalubre avec la principauté  la principauté indépendantiste en carton pâte de Séborga qui jouit d'un cadre nettement plus riant.

Un "Feng Shui" est désastreux !

Une rivalité existe, parait-il entre le village qui héberge le Grinda et un autre proche qui est connu pour sa collection de crèches. Il porte un nom assez "lumineux" et du reste sa situation topographique contraste avec celui dont le Maire me pose un sérieux problème par son refus systématique de me communique des pièces qui me sont dues.

Je parle de "Feng Shui". Le "Feng Shui" est une science naturelle chinoise traditionnelle. Les africains ont leur propre "Feng Shui" qui leur permet de localiser les endroits attirant la foudre et où l'on doit éviter de construire mais je n'en connais pas les critères. L'école la plus généraliste de cette science se base sur l'observation de l'implantation d'un site ou d'un bâtiment d'abord par rapport au 4 directions de l'espace.

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La vue ici est Nord Nord Est. Le village est dans une cuvette qui collecte toutes les humeurs froides et paccentes venant du Mercantour en hiver et subit une atmosphère lourde en été. L'Assise du village (la "tortue noire" dans le dialecte des chnois) est "fendue" par un val orienté nord est "porte des démons" qui passe sous l'aqueduc et remonte en direction du col de Brauss dans la direction du "Nord-Est" tenu en Chine comme étant la "porte des démons".

Le village originel a été déplacé du mont Pifourchier au XVIème siècle et pour commencer l'église est orienté à l'envers : l'orgue étant à la place d'honneur (Est) ce qui n'est pas bon sauf pour les concertistes. En revanche, leur succès écrasant comparé à celui des offices suscite de la frustation côté église. D'autre part, le chevet pointe vers l'occident : soit la "terre des morts", là où le soleil vient s'occire chaque soir.

Rien d'étonnant : le transfert date du XVIème siècle : passé la fin du moyen âge, on s'est mis à faire n'importe alors qu'auparavant le christianisme ayant conservé un certain sens de la "géographie sacrée", on reprenait d'anciens "centre spirituels" car leur localisation n'avait pas été décidée au hasard. Je pourrais à ce propos renvoyer à un couvrage connu d'un universitaire niçois pour ce qu'il en est de la géographie sacrée (zodiacale) des anciens Grecs.

Côté Sud (Phoenix ou Oiseau rouge) la lumière est barrée. Pour s'extraire du "trou" il faut remonter vers le col de Nice.

Le lit du Paillon n'est pas dégagé à l'est du pont en dos d'âne c'est une zone stagnante. J'ai du reste invité le Maire a débroussailler jusqu'au delà du pont suivant sans couper les grands arbres en retraçant des chemins et en les matérialisant par de pierres plate ocre et à poser tables et chaise de bois pour des piques nique et à inciter les propriétaires de la rive Sud a mettre en valeur leur portion de jardin. Il ne fera que se torcher le cul avec cette prescription mais c'est égal. Ce manque de dégagement aggrave la stagnation des "humeurs" visées. On voit bien du reste que côté rive sud les maisons tournent le dos à leur fleuve.

Le nouveau grand pont dérive toutes les opportunités vers Sospel.

Enfin le quartier le plus calamiteux est constitué par la portion triangulaire de la partie la plus vieille du village aux rues très étroites et là il n'y a vraiment pas grand chose a faire sinon restaurer certaines ruines restées en l'état depuis une quarantaine d'années.

Un village séditieux qui vit encore au temps de ces "chouans niçois" qu'on appelait "barbets"

Le village évoqué rend un culte annuel à l'une de ces figures nommée François Fulconis dit Latin. Je vous dispense de la photo de Nice Matin où l'on voit toute la fine équipe entourant le Maire  et dont un personnage assez "fumeux" fut une des causes de mes déboires de la fin des années 90 soit l'ex président d'une association. Un monégasque qui avait déguisé son prince et un de ses ministres en clowns a également joué un rôle notamment en balançant contre moi une "lettre ouverte" des plus odieuses. Ce personnage qui à l'époque fut le "directeur artistique" de l'assos qui organisa les premiers concerts de mise en valeur du Grinda après que j'eusse fait reparler l'instrument a été "dégagé" pour un soupçon de "pédophilie" à l'adresse des fillettes de la présidente.

Un soupçon erroné, je dois à la vérité de le dire car il ne faisait que tenir des propos vulgaires et quelque peu obscènes que j'ai souvent entendu dans les années 50 sans que ça ne déclenche de réactions hystériques. J'eusse préféré qu'il resta en poste car le vide fut comblé par Saorgin qui est la principale cause de la détestation du Maire actuel à mon égard. Concernant le monégasque j'ai découvert par hasard qu'il aurait trempé dans un groupuscule ésotérique lié autant que je me souvienne à un mage noir qui a été interdit de séjour avant que je ne débarque dans le secteur en mai 1979. J'avais du reste trouvé, venant de cet organistes des traces de spéculations pseudo ésotérique assez bien dans la manière d'un individu qui demeura Rue de Russie et qui m'a causé quantité d'ennuis à partir du moment où j'ai été bombardé à mon corps défendant représentant d'un certain "mouvement astrologique universitaire" que j'avais fui.

revenons aux fameux "barbets" et je suis sympa voici la photo relayée depuis le canard porteur.

https://www.nicematin.com/vie-locale/une-stele-en-hommage-au-barbet-lalin-fulconis-vient-d-etre-inauguree-a-l-escarene-259477

Le problème c'est que si ces chouans locaux ont eu des bonnes raisons de résister à l'invasion en 1792 des révolutionnaires français, ils ont fini par mal tourner en devenant des bandits de grand chemin. J'ai, à ce sujet, recueilli une "légende" faisant de ces bandits qui auraient fait métier, longtemps après 1799, date de l'armistice proposée par le Général Garnier, de repérer les voyageurs riches en l'auberge du château de l'époque pour leur tendre des embuscades au col de Brauss.

La seule chose intéressante dans dans cette "légende" c'est l'histoire du partage du butin dans une forêt qui est celle où en 1799 les barbets, dont Lalin, tinrent conseil au sujet du sort à réserver à l'offre de Garnier... Voyez sur Wikimerdia la fiche concernant Lalin.

Maintenant il me faut être clair ! Deux personnage au moins m'ont vendu cette histoire mais sans avoir jamais fait la relation avec la scène du colloque des barbets en forêt de Berre que voici : Lalin a libéré ceux de ses hommes qui voulurent rentrer au pays mais garda le maquis et se fit tuer aussitôt par un proche pour toucher la récompense. Je n'ai aucune certitude de l'existence de ces embuscades car le col de Brauss n'est pas tout près. Il se pourrait que ce ne soit qu'une concrétion de la malveillance. Les habitants de chaque village du secteur avaient leur surnom. J'habite parmi des descendants d'enfumés... Les présumés embusqués étaient tenus pou gens de cadena (gens de chaîne).

Il en est résulté pour le village visé une autre légende comme quoi dessous l'église aurait existé une prison pour "galériens" et un témoin prétendu a voulu me convaincre que l'on en aurait tiré un charnier réduit à l'état d'ossement. En fait, ça vient tout bêtement d'un fantasme élaboré à partir d'une scène résultant du curage de l'ancien cimetière derrière l'église en vu de sa translation plus à l'ouest.

Que reste t-il de toutes ces légendes ? Pas grand chose ! Sinon que la seule chose à considérer c'est l'attachement cultuel de la pseudo élite locale à la figure de Lalin qui n'a pas défendu la culture locale (la religion catholique) mais un simple "bien personnel" sa femme qui fut violée par des hussards français. Chrétien, le Lalin ! Un chrétien ça pardonne. Bref je ne m'explique pas plus sa décision de garder le maquis que celle de l'équipe dirigeante de perpétuer ce héros qui n'a rien, à mes yeux, d'un saint. Bref, ce culte profane d'une sorte de saint laïque venant d'un Maire qui fit des études au séminaires de Cannes n'est qu'une fumisterie. Je dis fumisterie car j'ai des raisons de présumer que le Dr D.  s'est laisser subjuguer par les pressions de certains régionalistes locaux qui en sont à mes yeux que des sortes d'illuminés. Donc l'ostentation de Lalin, encloué sur une porte et en état de décomposition à Nice c'est 1799.

René Peyrègne un ancien directeur de Conservatoire est un historien facétieux

J'ai dans mes archives un texte de René Peyrègne ex directeur du Conservatoire du temps où j'ai fréquenté la classe d'Huguette Grémy-Chauliac et grand historien à ses heures et, en tant que tel, auteur de suppléments dans Nice-Matin m'a paru se foutre gentiment d'un certain Uberti, le prédécesseur de l'actuel Dr D., qui en 1801 a fait du zèle au moment de la proclamation de la Saint Napoléon en 1801 pour le 15 août donc en même temps que la fête de la Vierge et ce avec la complicité d'un curé érudit qui a trouvé un martyr au nom vaguement approchant. En d'autres termes, une paire d'années après l'enclouage de Lalin sur une porte et son exposition en ville en état de décomposition les bourgeois du village administré par Uberti n'ont pas boudé ses deux bals.

Bref, en lisant cet exposé du "faillotage" typique des édiles et d'un clerc de l'époque, je ne peux qu'exploser de rire en constatant qu''un de mes adversaire fait métier de perdurer dans cette sédition assez purement culturelle pour complaire à la partie pensante d'une partie de son électorat. Enfin, que cela lui plaise ou non, on a largement passé 1860, soit le rattachement à la France avec la bénédiction d'Amédée de Savoie et j'imagine que les juges du Tribunal administratif a qui je remettrai copie de cet article ne manqueront pas de sourire. En effet la justice administrative est à mes yeux l'une des inventions bonapartiste parmi les plus remarquables. ce sont là des enfantillage ridicules et en dépit des rêves de sédition en lesquels on se complait sur les bords d'un des deux Paillons, la roue a tourné.

A noter que Lalin est l'objet d'une vogue régionaliste assez étendue y compris chez les régionalistes occitans qui ont eu surtout à pâtir de l'Inquisition du temps de mon saint patron... Rien à voir avec la chouannerie à la niçoise.

L'histoire de Nice est un sujet épineux

Avant de passer à autre chose, je voudrais en terminer avec cette chouannerie. Le général Garnier n'était certes pas un saint. Je me suis procuré le livre de Joseph André, Nice 1792-1814 sous titré "Les Milices du Comté et les Barbets" édité par Alain Rouiller, un éditeur niçois que j'ai bien connu.

Je tiens à préciser que je vomis la Révolution Française et je rend grâce à un certain Bonaparte de l'avoir plus ou moins liquidée sauf que personne ne saurait en effacer toutes les traces mais force est de constater que l'objectivité en cette matière est chose difficile. D'abord, il faudrait sans doute remonter à l'histoire d'avant la fameuse dédition de Nice à la Savoie qui constitue une rupture avec la Provence.

La seule chose qu'on peut retenir au final c'est que les indigènes de toute la région n'apprécient pas les étrangers à moins qu'ils ne soit assez riches pour claquer du fric sans compter. Je me rappelle la réflexion d'un bistrotier du quartier de la gare à qui j'avais réclamé un simple verre d'eau : ici on n'aime pas les congés payés ! C'était encore dans les années 70 et ça m'a marqué.

Le jumelage avec Seborga

c'est le même topo séditieux sauf que le Feng Shui de Seborga est assez positif. Au fond c'est un peu le mariage d'une Belle et d'une bête, style vipère d'eau douce de celles qui doivent hanter certains bords humides du Paillouin à la saison requise...

Donc dans le village du Grinda, on est resté coincé, deux ans avant ce début de francisation de 1801 et le Maire actuel a obtenu le jumelage avec la principauté en carton pâte de Séborga qui vient de tomber en quenouille l'ex prince préférant sans doute les chiens aux enfants.

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A noter que quand j'ai parlé de mes démêlés avec le village maudit lors d'une réunion d'anciens, la Mairesse de mon patelin m'a fait savoir que c'est nous qui aurions du être jumelés avec Seborga mais le Dr D. aurait piqué l'idée et on se serait fait coiffer au poteau. J'ai ouï dire plusieurs fois qu'une spécialité de mon adversaire consiste en ce genre de récupération. Mais ne m'intéressant point à ces mesquineries, je n'enregistre pas les détails.

A propos d'un lynchage mortel

Je ne m'étendrai pas sur ce drame. La responsabilité de la mort du lynché incombe aux urgences hospitalières niçoise.

L'Omerta ne provient pas des habitants du village, ce village est devenu, comme beaucoup d'autre un "dortoir". Une poignée de gens seulement on su avant le 14 décembre dernier, date du commencement de déchainement de la presse, qu'il s'était passé quelque chose le 12 octobre. C'est le copine du dénommé Jérémy qui a alerté la presse locale et en a voulu  presque en faire un saint.

Je suis du reste une des rares personnes à savoir où exactement le lynchage s'est produit. Un épisode se serait déroulé sous le viaduc vers la "porte des démons" mais le dernier acte saurait eu pour cadre le vieux moulin devant la stèle dédiée à Lalin.

Je précise que le Feng Shui du village n'est pas top mais je ne vois pas de relation directe entre lui et le drame évoqué. ce Feng Shui favorise les querelles intestines parmi les gens de souche c'est tout mais la population s'est grandement diversifié et constituée en majorité d'étrangers au secteur.

Il est possible que Jérémy Da Sylva n'ait pas été tout-à-fait innocent car d'après mon enquête, les jeunes ont voulu le confronter à la victime et il aurait accepté puis aurait fui au denier moment déclenchant une course poursuite avec des chiens. Cela étant cela ne justifie aucunement ce qui s'est passé ensuite.

Je connais le village depuis 40 ans avant d'être organiste j'ai participé comme accordeur de clavecin à des enregistrement de l'Ensemble baroque de Bezzina. La place était animée tard le soir et l'enregistrement évoqué a été un enfer. Des jeunes de seconde génération des karkis hébergé dans un camp depuis 1963 dans les secteur étaient très actif et les filles étaient remontées d'où éclats de voix à plus de minuit...

Or des jeunes je n'en vois plus, la place est déserte le dimanche à l'exception de la terrasse du café de l'Union.

L'acharnement de la presse, d'abord locale ensuite nationale et même internationale est inexplicable sinon qu'on m'a laissé entendre que le Maire se serait attiré l'hostilité de Nice Matin en refusant autrefois de recevoir les journalistes de Nice matin en une occasion qui ne m'a pas été précisée. Ainsi depuis le fameux lynchage on observe un acharnement de Nice Matin sur ce village et ça a été le cas avec deux histoires de drapeau pendus au viaduc, en fait 3 au total, un ukrainien, puis récemment un russe et pui pour finir un oriflamme LGBT...

J'ai encore obtenu la confirmation ce matin que le Maire est un individu "borné" qui se braque et ça se voit sur son visage au niveau du cou mais il faut être un bon physiognomoniste pour découvrir derrière son cou de bovin évoquant un problème thyroïdien des traits nettement plus sympathiques. J'ai le souvenir à une époque d'un mouvement de sympathie dans son bureau et on m'a dit qu'il y a aurait dans son entourage quelqu'un qui ne pouvant pas me voir en peinture l'aurait influencé. Qu'importe il faudra, que cela lui plaise ou non qu'il s'explique.

Je n'oublie pas que ce personnage est mon jumeau à 3 jours près, on a les mêmes planètes mais j'ignore son ascendant et la distribution de ses maisons par rapport au zodiaque saisonnier. Natif du Cancer, il a comme moi 3 planètes en Gémeaux Venus et Uranus en conjonction et Mars sans doute comme "planète aveugle" car très mal placé dans ce signe mercurien, je serais vraiment curieux de savoir où tombe cette configuration assez singulière... Nous avons à raison de nos blasons, et j'en ai deux un français et un anglais, des affinités quant à la teneur de nos vocations respectives. Deux d'entre eux se rejoigne par un signe "trinitaire" et l'église du village a comme originalité un plan du même ordre. Le conflit que je vis présente un caractère hautement "ésotérique".

Mon premier "patron", une victime du Maire de ce village maudit ?

Le Père Paul. S. qui m'invita a prendre le poste dans la seconde moitié des années 90 semble bien avoir été limogé par l'officialité à la demande du nouveau Maire apparu en 2002. Ce prêtre se serait attiré la vindicte des fans du futur nouveau Maire  en se prononçant en 2002 en faveur de l'ancien, un socialiste qui aurait été antiquaire.

C'est ainsi qu'un des membres de la fine équipe d'une association vouée principalement à la perpétuation de la "fêtes de limaces" et autres coutumes folkloriques a pendu une soutane armé d'un balais à un platane proche de l'église. 

Une pendaisons symbolique "contradicoire" aurait orné le viaduc qui a vu fleurur récemment un drapeau russe puis LGBT...

Je reviens à mon premier "patron" : d'origine maltaise il s'était rendu célèbre en pratiquant un "mariage sous marin" à Roba Capeou.

Détail plus crucial, j'ai entendu un jeune de l'époque brailler dans l'église en l'insultant à propos d'une "femme secrète", il a eu du reste eu un fils naturel qui faisant office de chanteur de rock lors d'une bénédiction annuelle des motos de ses collègues sportifs. Je ne vois pas trop où aurait été le problème. L'ordination des hommes mariés a été la règle pour le clergé séculier pendant plus d'un millénaire et l'idée lancée au concile d'Elvire n'a vraiment pris pied que presque un millénaire plus tard.Un savant domincain dont j'ai publié un article à ce sujet dans une revue confidentielle des années 90 a parlé de "météore". Rien a voir avec  des dérives à base de "pédophilie".

Le mandat d'un curé en titre est de 6 ans. A t-il pu le terminer ? J'en doute ! Malheureusement, j'ai peu de chances de pouvoir rentrer en contact avec ce prêtre aujourd'hui retraité dans son île natale. Mais nous avons une relation commune et j'espère avoir l'occasion de lui témoigner de mon estime car j'ai apprécié sa loyauté et son soutien.

Mon premier ministère 1996-2002

C''est après avoir pris les clefs de tribune en Mairie que le Père Paul S. m'invite à devenir son organiste.

Après réflexion j'accepte et je participe à des stages d'harmonie au clavier pour l'accompagnement mais comme un collègue s'en occupe, je ne me chargerai jamais que des 4 pièces telles que Entrée, Offertoire, Communion et sortie.

Sur le conseil d'un membre de la commission des Orgues je me fais nommer par le curé "Conservateur local à titre bénévole". Un intervenant monégasque ayant posté un puissant projecteur derrière le voix humaine, Cabourdin me donne ordre de débarrasser le buffet de tout ce qui n'a rien à y faire et de le fermer avec interdiction de la donner à quiconque hormis le facteur et moi-même.

Vous imaginez le scandale ! Un gars du nord débarque et bien faire la police dans ce patelin chéri des dieux les plus séditieux.

A propos du rôle calamiteux de "Maître Saorgin"

Saorgin trouvera le se faire donner la clef et de faire démonter l'occultation de l'UT naturel du Cornet que j'avais pratiquée avec l'accord du restaurateur par Marc Giacone. Qu'il avait prétendu ne pas connaître quand je m'en suis plaint la première fois.. Il était du reste prévu une commande pour, lors du prochain relevage par Cabourdin, sla possibilité d'un choix entre l'option française et l'espagnole. Comme ça se fait partout quand on traite avec des gens intelligentd.

Mais Saorgin s'est avéré être un con attaché au respect stérile de l'original et surtout un faucheton. Ce n'est pas parce qu'il a découvert l'instrument qu'il pouvait se permettre de marcher sur mes plates bandes. L'affectataire m'avait délégué en fait son propre droit de "conservateur", il n'avait qu'une chose à faire : ne s'occuper de ses fesses.

Avant de me faire ce coup foireux de l'intrusion commandée à Giacone et qui s'est du reste soldée par un désaccord de plusieurs tuyaux de bourdon, il m'avait ordonné de régler le clavier pour son concert, ce que j'ai fait volontiers. Je m'étais plein de Giacone.

Cet ex professeur du Conservatoire s'est avéré être pour moi une vraie plaie et a trouvé auprès du Dr D. une oreille complaisante pour continuer d'incarner sa malfaisance. D'autant plus que j'ai fait le chemin jusqu'à Saorge pour, à l'issue d'un concert, l'engueuler.

Je suis désolé mais je suis ainsi constitué qu'à partir du moment où on me charge d'un mandat il ne saurait être question que qui que ce soit me mette des bâtons dans les roues. Malheureusement, dans tous les domaines artistique la rigueur et le professionnalisme sont des choses fort rares. 

C'était plus qu'il n'en fallait pour me faire détester. Imaginez un type considéré comme un méchant français du Nord qui vient faire la police dans le Sud Intolérable !

Arrive les élections de 2002. Le Maire change. Mon patron est écarté et le nouveau curé se trouve chargé de faire de même à mon égard. Je pense que Saorgin est venu déplacer les poids du régulateur de la soufflerie pour qu'elle s'écroule au premier accord posé par ma remplaçante afin de faire réagir le nouvel intervenant. La situation étant devenu ingrate.

Le nouveau curé, auquel ses collègues reprochaient d'avoir négligé de suivre la voie de se géniteurs en terminant ses études au Lycée agricole d'Antibes s'est laissé convaincre qu'il se serait agi d'une querelle entre "stars". Or s'il est bien une mentalité qui m'est étrangère c'est précisément le côté "caractériel" de toute star qui se respecte. Je n'ai pas cette mentalité, raison pour laquelle je ne me sens à ma place qu'en tant qu'animateur de l'instrument pour ce quoi il a été conçu. A savoir la liturgie.

Le parcours de 25 km en scootersur une route de montagne dangereuse avant qu'on ne mette des bites en plastique partout à l'approche du col de Nice, constituant un risque permanent vu les fous du volant très répandus dans la région. Ne pas oublier que je suis venu d'un département où il y a toujours eu le moins d'accident que les assurances choisissait pour leur siège social afin d'être plus concurrentiels.

Second ministère à partir de 2015

En 2003, je perds la jouissance d'un atelier de facture de clavecin à Nice. N'ayant pas fait pérenniser la convention d'occupation précaire datant des années 1985, je décide de m'établir à la campagne et je ne trouve qu'une possibilité, celle d’atterrir en une citadelle dominant le village de mon ancien poste. Chargé de la pub des cours d'une amie, j'ai été payé pour poser des tracts dans toute la vallée du Paillon, j'en ai profiter pour ajouter une recherche d'appartement. Bernique ! Un coup du hasard hautement symbolique. d'autant plus qu'en l’occurrence j'ai gagné de la hauteur par rapport à mon premier point de chute...

Mais il me faudra attendre le relevage pour obtenir de retrouver mon poste. Saorgin a fait enlever toutes clefs en sacristie et a prétendu que de joue d'instrument en dehors des concerts l'abimerait ce qui est faux, tout le monde le sait. Il s'est vraiment foutu de moi.

Le Père Michel D. accepte mon offre mais me prévient qu'on a fait son siège pour qu'il refuse de m'engager. Suit une période troublée, notamment par les manigances d'une amie de la femme du Maire qui tient une chorale qui ne sert qu'aux Rameaux et qui a voulu l'exclusivité.

Je dois attendre 2018 pour obtenir par contrat les clefs de tribune de la Mairie. Un ingérence parfaite, l'affectataire étant seul maître des clefs d'un orgue classé.

J'ai raconté plus haut la forfaiture de Formentelli. Inutile de me répéter. Maintenant il va falloir qu'il nous explique le pourquoi des carences dans le grave datant de son passage en 2014.

La vidéo des inégalités du Grinda

Il suffit d'écouter... Vous découvrirez que le fils Formentelli a été mal inspiré en voulant me coller sur le dos sa foutue "dénonciation calomnieuse". Elle se retournera d'une façon ou d'une autre contre lui.

Et il va bien falloir solutionner le problème. Je pourrais du reste consacrer une partie des dommages et intérêts que je compte réclamer à Formentelli au financement de la solution de cette carence mais encore faudrait-il que Michel Colin ait pointé ce que j'ai pointé. J'ai du me montrer désagréable envers ce dernier en lui faisant remarquer qu'en tant qu'expert agréé par la Cour d'Appel d'Aix bien que non spécialisé en orgue, je me considère comme son égal. Là encore il aurait du me communiquer le contenu du rapport et me demander des explications.

Pour ceusses qui douterait de mes capacités d'organiste voici quelques vidéos

Sans être un super virtuose, des myriades de jeunes font beaucoup mieux, je pense avoir honoré l'enseignement de Dame Chauliac quant à la pratique correcte des fameuses "notes inégales".

 

 

Ci-dessus extrait d'une audition d'élèves à "St Max" il y a fort longtemps. Sans préparation : Béatrice Clérici me fait des signes désespérés d'opter pour le clavier de résonnance mais j'ai évité ce saut trop périlleux : cet instrument, je ne l'avais joué qu'une fois cet instrument lors d'un colloque au couvent des Dominicains et cette rencontre provençale a décidé de mon destin.

Une très singulière "contredanse" survenant 17 jours (!) après l'infraction présumée

Voici maintenant une preuve que le Maire qui m'a dans le nez est capable de tout faire pour me nuire. Admettez que c'est quand même singulier de la part d'un homme se disant catholique et que ses parents destinaient à la prêtrise.

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Les désirs sembleraient être des ordres pour les gendarmes du secteur. Le dimanche 2 avril, jours des Rameaux, la messe était à 10H30. J'arrive à 10H15 et je pose mon scooter (dépourvu de béquille) contre d'église coté chapelle Sud. Deux gendarmes style vigipirate, très gentiment me font observer qu'ils ne sont pas là pour mettre des PVs, il me demandent donc de déplacer mon Booster. Je le déplace près du Café de l'Union contre un lier. On ne me fait pas d'observations de sorte qu'à 11h28 il n'était plus en infraction.

Mais pourquoi un PV 17 jours plus tard alors que j'étais sur place ! Parce que le 13, j'ai adressé un courrier personnel au Maire à son cabinet médical car je soupçonnais la secrétaire d'en bloquer une partie du courrier, le lettre  est arrivée le 15 un samedi, elle lui a été transmis à son domicile de la Vernéa le 18. Ce jour là, le Maire, n'ayant point apprécié l'humour de mon propos, il a du piquer une colère noire et j'en ai senti les effluves jusqu'en Italie où je faisais des courses avec une amie, j'ai été victime d'un gros malaise. Et comme par hasard le PV date du lendemain !

A noter que si le PV avait été réellement dressé le 2 mai dimanche des Rameaux, il aurait comporté autre chose qu'une amende pour stationnement gênant car le gendarmes m'avait signalé gentiment que ma plaque d'immatriculation n'était pas au format. Je vais porter ce détail à la connaissance du Procureur et du juge qui doit statuer sur ma contestation.

Côté recours, les dès sont quasiment jetés, il suffira d'être patient.

Quelques remarques pour terminer

J'ai lors de ma campagne photographique rencontré des gens sympathiques et tout-à fait normaux. Mais il existe au dessus du village concerné un "égrégore" (milieu psychique très particulier) qui engendre et perpétue certaines conséquences "karmique" et et ces influences peuvent s'emparer et "infester" des gens prédisposés à nuire de par leurs côtés "caractériels".

Enfin et en ce qui me concerne, à partir du moment où des responsables en viennent à se mêler de ce qui ne les regarde pas, il n'y a pas de conciliation possible. Il existe des règles en ce bas monde qui implique qu'un Maire doit rester à sa place. Son rôle est de faire en sorte que sa commune assume les frais de conservation des monuments historiques existants, déduction faite des subventions éventuelles. Il n'a même rien à dire sur les partis esthétiques qui sont du ressort des agents de la Drac. Ayant critiqué ce Maire devant un certain paroissien, celui-ci m'a répondu que je devrais le remercier d'avoir fait tout ce qu'il a fait pour l'église et l'orgue en particulier. J'ai répondu Non, il n'a fait que son devoir, le problème ce sont ses ingérences et elles ne sont pas tolérables si même les affectataires sont enclins à la fermer du fait de sorte de subventions occultes envers le culte.

Mon contact en tant que citoyen de culture plutôt germanique avec les biais du à un manque de rigueur proprement latin a constitué une épreuve douloureuse car on se retrouve seul quand on vient d'ailleurs.

En dehors des questions de Feng Shui qui ne résultent pour l'école des directions que de considérations symbolique somme toute très logiques et même évidentes. Il existe une différence entre le Nord et le Sud. Là où règne le froid, les gens se regroupent à l'intérêt et sont plus chaleureux. Dans le Sud, ils vivent dehors et sont prédisposés à se donner en spectacle sur le forum et ne reçoivent pas les étrangers, que les camarades de leurs mômes seulement pour les anniversaires. C'est quelque chose d'assez "glacial" pour un "nordiste".

Mais en plus de cela, je suis quelqu'un de très cultivé dans quantité de domaines très variés. Dans mon patelin, on m'a du reste surnommé "le scientifique" en voulant signifier que je fais partie de ces gens qui compliquent les choses comme le font volontiers les "technocrates". Ce n'est pas le cas, bien au contraire, j'ai un sens de la synthèse et une vue pénétrante des véritables corrélations entre les choses précisément parce que seul un "sens analogique" aiguisé permet de vraiment les relier.

Ce sens de l'analogie, cette sensibilité aiguë au langage symbolique, n'est même plus l'apanage de l'élite cléricale. Quand j'ai découvert que dans la cathédrale Sainte Cécile d'Albi, au lieu d'exfiltrer l'autel devant la clôture on l'a casé sous le grand Moucherel avec pour toile de fond des fresques du jugement dernier et de l'enfer qui sont, elles, à leur juste place, j'ai hurlé !!! Selon un enseignant émané du Centre National de Pastorale Liturgique parisien, on aurait clôturé les chœurs des églises médiévales pour protéger les évêques de la presse exercés par des fidèles les prenant pour des "gris gris" vivants. L'un d'eux serait mort étouffé. Ce personnage qui a sévi lors de stages d'harmonie au clavier et qui a trouvé mon livre dans la bibliothèque de ce centre n'a même pas fait la relation avec l'iconostase des orthodoxes et celle des iconostases qui s'ouvrent et de ferment selon des temps bien précis avec le fameux "rideau du temple" et bien je suis, à la fois effondré, et MDR comme disent les jeunes.

Vu la teneur du blason que je partage avec un certain Mgr Alexandre Raymond Devie ex "patron" du curé d'Ars (un cyprès de sinople...) et celui de la lignée albionique dont je descends, savoir Noir au chevron dentelé d'hermine, accompagné de trois anneaux d'or, le genre de clerc que j'ai en vue ne sont pas à leur place ni moi à la mienne. Mais je préfère le rôle ingrat qui m'est dévolu que le leur car ma parole est libre et certaines paroles de vérité peuvent se révéler "foudroyantes" quand elles sont prononcées à bon escient.

J'ai toujours eu l'impression d'avoir atterri un 6 juillet 1947 au milieu d'un asile de cinglés à l'échelle planétaire et çà ne s'est pas arrangé. J'ai tendance à me sentir assez seul et çà ne s'arrange pas. Je rencontre rarement les gens me paraissant lucides et partout le niveau intellectuel a chuté.

Cela étant le caractère "tourmenté" de la région, ses lumières et ses couleurs changeantes d'un instant à l'autre depuis le magnifique point de vue où j'ai trouvé refuge constituent une merveille se renouvelant sans cesse et qui continue de m'enchanter jour après jour. J'ai fui l'ennui de la grande plaine champenoise et le bourgeoisisme exécrable de la ville des Sacres ivre de trop de Champagne. Les "chocs" ont été douloureux mais je suis sûr d'une seule chose c'est que je ne mourrai pas idiot.  

Il me reste a espérer que la fin de cette histoire ne sera point la fin de mon histoire. J'ai bien l'intention de mourir à la tâche, cela étant je n'ai accepté le poste à l'origine que pour travailler sur moi-même et d'abord me guérir de cette maladie "nosocomiale" que l'on contracte dans les Conservatoire : le trac. Le devoir que je me suis infligé est le seul moyen dont je dispose pour continuer d'entretenir ma motivation à progresser dans la pratique de mon instrument. Et de ce côté ça a fonctionné.

"Dieu" n'a pas besoin de moi, il a ses propres anges musiciens, en revanche l'instrument doit servir d'abord pour ce quoi il a été conçu même si ceux qui l'ont commandé autrefois ne l'ont jamais payé sous prétexte que les Grinda ont été réquisitionné par les révolutionnaires français pour construire une guillotine pour Nice.  C'est du moins ce qu'à raconté un Mgr Ghirardi de Clans. Curieusement, le Grinda de Clans et celui que je joue ont failli être anéantis par un méchant dégât des eaux. Si à Clans je n'avais pas conduit à découvrir le sortilège entre deux visite de préparation d'un concert avec un collègue, il serait probablement, à l'heure actuelle, bouffé par de méchants champignons... Mais qui s'en soucie là bas dans se village aux multiples sources où certains citoyens passent leurs temps à barboter des légumes dans des jardins non enclos. L'endroit est pittoresque mais je n'irai jamais habiter là bas.

Il existe du côté de Saint Etienne de Tinée un village au Feng Shui quasi parfait ou du moins très remarquable, c'est Illonse mais il n'y a pas d'orgue. En revanche, on y dors merveilleusement bien et l'harmonie régnait entre les générations il y a 25 ou 30 ans. J'espère que c'est toujours le cas et que les confinements successifs n'ont pas rendus chèvres les habitants. Attention, tout de même en période orageuse, éviter les parapluies et autres objets métalliques.

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