03/08/2025
Choix de vidéos intéressantes...
J'ai le projet de rassembler sur cette page une série de vidéos et d'articles remarquable à divers titres. Il s'agit forcément d'une page appelée à évoluer régulièrement.
L'ordre adopté est purement aléatoire il me faut le préciser.
J'ai du réduire le cadrage de ces vidéos. Cliquez sur "regarder sur Youtube" ou ouvrir dans un nouvel onglet...
La seconde vie de mon dernier clavecin à Saint Pétersbourg
Ces vidéos qui suivent n'ont rien de révolutionnaires cependant que charité bien ordonnée commence par soi-même...
Il s'agit a l'origine d'un "klt" à terminer conçu par Klinkhamer d'après un instrument de Zell facteur de Hambourg soit un mélange particulièrement réussi de facture flamande et italienne. La particularité de ce type d'instrument c'est que le son porte loin dans un édifice sans aucunement se "dissoudre" comme c'est le cas pour la facture française tardive.
C'est une qualité qui avait frappé Hubert Bédard lorsqu'il l'a entendu dans je ne sais plus quelle église...
Cela dit j'en ait chié avec ce type d'instruments. Il m'a fallu ligaturer chaque sautereaux car les languettes foutaient le camp. Pas compliqué, en revanche il a fallu changer plusieurs barres d'accroche en contre-collé. Ce serait une des raisons qui auraient poussé Zuckermann a refuser ce modèle (??)...
Klinkhamer m'a payé le voyage à Amsterdam où j'ai vu et entendu un instrument de facture espagnole qu'un dynamisme qui m'a littéralement scotché !
Le choix d'instrument trop "neutre" par Scott pour son "pensum" à base de ses 555 sonates de Scarlatti est une des raisons qui font que cette intégrale ne m'a pas franchement passionné...
Une des raisons pour lesquelles je me suis séparé de cet instrument réside dans le fait que je n'ai disposé lors de ma "mise au vert" que d'une petite pièce à l'acoustique déplorable, le son claquant sur un mur trop lisse et très dur il se trouve que l'acquéreur a fait une très très bonne affaire...
Un des autres instruments sortis de mon ex atelier. Norbert Brogghini me l'avait signalé au moment où il fut mis en vente sur le "Bon coin". Il se trouve dans la la région de Vence. On y retrouve le même type de son très dynamique sans être sur pour autant...
15 vidéos des inventions de J.S. Bach jouées par des enfants
Voir en particulier la 1 à 2 voix et comparer avec celles de 5 pianistes connus (qui n'ont rien compris ou presque à la pièce, on ne leur a jamais parlé des "bonnes" et "mauvaises" notes...)
Cette vidéo est extraite du canal de la Netherlands Bach Society.
Dans cette vidéo les 4 premières versions sont particulièrement "calamiteuses" et celle de Glenn Gould n'est pas la plus mauvaise en dépit de ce qu'a pu dire de ce pianiste "Scott la Rosse" qui fut connue pou sa langue assez "fourchue"...
Je me suis particulièrement intéressé à ces pièces car Huguette Grémy Chauliac est sans doute la seule prof. a les avoir enseigné correctement. Je me rappelle que les élèves avons été à 2 doigts de piquer un gros fou rire en entendant une intégrale à la chapelle niçoise de la Miséricorde. Notre maîtresse nous ayant fait les "gros yeux" on a essayé de garder notre calme...
Voici une version "perso" ancienne, je ne disposais pas du matériel vidéo le plus performant et il faudrait la jouer un poil plus fluide cependant je présume que l'interprétation orthodoxe ressemble plus à cela qu'à ce qu'on trouve ici et là sur la toile...
http://leblogdemusicreprints.blogspirit.com/files/JSB1.mp4
A propos du personnage de Scott Ross...
Nous avons eu la même "maîtresse de clavecin" (Huguette Grémy-Chauliac) à ceci près que j'ai bénéficié de la "mise à jour" de sa technique telle qu'elle a été revue et corrigée par Antoine Geoffroy Dechaume.
J'ai bien connu Scott concernant sa biographie voyez http://proulx-michel.fr/scott.html.
A partir de cette page http://proulx-michel.fr/srbio.htm veuillez continuer par les liens en bas de page.
Cette "bio" n'explique pas pourquoi, à un moment donné Scott a été "personna non grata" en France et aurait été traité comme un "immigré" plus ou moins indésirable. Je dois être l'une des rares personnes à savoir pourquoi. Un témoin digne de foi m'a parlé d'un pari stupide de sa part : lors d'une réception et d'un banquet en son honneur il aurait fait la blague de monter sur une chaise pour montrer aux "huiles" ses fesses. Je l'ai assez croisé pour savoir que cela lui ressemble assez, je pense à son comportement lors d'une réception chez un Conservateur de Musée niçois. A noter que j'ai fait un peu de grabuge à l'approche d'un colloque en son honneur où l'on a plus parlé de Sida que de musicologie. Je parle d'une "lettre ouverte" qui m'a valu un exploit de la part d'un policier un peu trop zélé et une mise sous haute surveillance d'un Musée sensible où Dame Chauliac, l'ex amant de Scott devenu "veuf" et une camarade de conservatoire qui l'a envié et détesté à la fois ont donné un concerto à 3 clavecins de JSB...
Plusieurs points communs (au moins 3) auraient du nous rapprocher mais je n'ai apprécié que modérément ce personnage un peu trop amer à mon goût.
Le point commun qui m'a le plus frappé est une ressemblance physique avec le célèbre Scott Ross (une ressemblance attestée par plusieurs niçois ayant connu les 2 phénomène ainsi que par Kenneth Gilbert lors d'un concert au Musée Chéret...) ressemblance qui s'explique notamment par une commune origine ethnique.
Je suis un rejeton francisé (entre 1590 et 1640) d'une très noble lignée assez purement celtique apparue au XIème siècle au Pays de Galles et qui a rayonné vers l'Ecosse, l'Irlande, le comté de Stafforshire laquelle s'est prise d'une affection particulière pour un "Saint David" (Dewy Sant). Le nom que je porte est une déclinaison de "Davies" apparue en Albion du prénom de ce monarque biblique connu pour s'être amouraché d'un particulier prénommé Jonathan. Concernant les blasons j'ai le choix entre 3 modèles assez auspicieux deux anglais et un français...
Cela étant il est évident qu'il me faut faire débuter ma série de vidéos remarquables par celles d'un duo"franco/anglosaxon" des plus réussis...
Luth et clavecin (Jean Rondeau et Thomas Dunford)
Les Sieurs Rondeau et Dunford forment un duo parfait et très anglais y compris dans la musique française.
Rondeau étant un excellent interprète de la musique des virginalistes anglais, le seule reproche qu'on peut lui faire étant de "grimacer" un peu trop...
Enfin cette musique anglaise, indépendamment du genre de virtuosité qu'elle réclame nécessite une épinette de même nationalité, le répertoire anglais spécifique de l'orgue ayant subi des influences étrangères n'a pas la saveur de la musique fort mélancolique des virginalistes...
Un prodige multi-instrumenttiste et "multipiste"
Voir : https://www.youtube.com/@EarlyMusicinadifferentway
Inutile de vous faire un dessin vous comprendrez aisément quelles performances cela implique. Il a même interprété un air des Beatles en version baroque...
Vidéos d'orgue assez classiques de style très, orthodoxe
Henri Dumont par Roland Lopez à qui l'on doit également une transcription de une jeune fillette de Du Caurroy. Je reviendrais sur ce compositeur dont plusieurs transcriptions pour orgue sont partiellement ILLISIBLES. C'est à hurler !!!
Quelques remarques à propos des restitutions des pièces de Du Caurroy
Tout ce qui relève des transcription de musique vocale souffre, à cause d'un interpénétration de plusieurs voix dans un registre concurrent d'une simplification d'écriture consistant à prendre comme seul point de vue une ligne conforme aux montées et descentes de ces voix alors qu'il serait absolument impératif de seulement prendre en considération le partage de ces voix entre chaque main. Comme je ne me sers plus assez régulièrement de Finale, j'ai renoncé à l’exécution de certaines pièces de ce type de répertoire. Evidemment, si je demandais à un zélé restitueur canadien de modifier quelques mesures par ci par là, il m'enverrait paître comme il l'a fait quand il nous est arrivé d'échanger sur les "doigtés historiques"...
C'est tellement plus facile de faire chier son monde et certaines professions ont tendance à attirer dans leurs rangs de vulgaires SADIQUES. Beaucoup de profs de musique sont gravement affligés de cette sorte de perversité avec quelques "arracheurs de dents".
Concernant l'édition des pièces de Du Caurroy transcrites pour l'orgue
J'ai des observations très acides à faire sur l'édition de la Schola Cantorum préfacée par Norbet Dufourcq. Ce sinistre personnage responsable de la dégradation de nombreux instrument français mis au goût de son époque : il n'a même pas été fichu d'inclure Du Caurroy dans son tableau des grandes dates de la musique instrumentale (1500-1665). Pire encore : ne figure nulle part son année de naissance, on apprend seulement qu'il est mort en 1609 soit 1 an avant la parution de ses fantaisies par Ballard !
D'autre part, ça ne lui aurait rien coûté de faire débuter son tableau chronoloqique avec les premiers organistes compositeurs en couvrant au moins la totalité de l'Ancien régime...
Parmi les restitutions pour orgue voir celles de Pierre Gouin et Roland Lopez (Une jeune fillette). J'ignore pourquoi le canadien a omis la première fantaisie.
Un travail d'inventaire de ces fantaisies avec les thèmes en regard d'après l'édition Ballard, et une recherche des meilleures transcriptions et des meilleurs enregistrements reste à faire....
Concernant le thème de la "jeune fillette" cette interprétation est sans doute authentique quant au style. Ca danse comme il convient pour la musique de cette époque. Mais en fait il s'agit d'une improvisation sur le thème en cause. C'est parfait pour le style de facture qui convient, pour l'ornementation et le toucher.
A noter une interprétation d'André Isoir avec les chants en alternance : il est possible que la juxtaposition de la partie chantée ait entraîné un mouvement trop lent. Ca se discute
Concernant la première fantaisies à 3 voix cette version d'Erik Simmons ne m'a pas convaincu : trop lent, trop statique, absence de distinction entre "bonnes" et "mauvaises" notes mais on peut faire pire... J'ai trouvé une interprétation par trois flûtistes qui m'a paru tout-à-fait à côté de la plaque .
Et je crois savoir d'où vient le problème, les pièces sont notées en C et on inscrit 4/4 mais en vérité l'écriture implique que le tactus est à la blanche (semi brève). En fait il faudrait inscrire un C barré au lieu d'un C. J'ai noté que ce genre de problème se rencontre aussi dans la musique espagnole. Bref, les bévues de certains interprètes connus ne m'incite pas à leur tresser des couronnes.
Impossible de trouver un tableau de correspondances entre les figures franchement médiévales, la théorie de l'époque et les usages moderne. L'histoire de la notation du moyen âge à la Renaissance par Colette, Popin et Vendrix nécessite une tonne d'aspirine pour en venir à bout. Ce type d'universitaire adore compliquer à dessein les choses pour impressionner les gens et s'avère incapable de fournir des synthèses ergonomiques cependant p. 148 alla semi brève (blanche) est bien marqué C, j'ai donc la preuve que ce que j'avance est parfaitement juste...
Bref, il y a de quoi être surpris quant à l'incompétence d'instrumentistes qui passent pour des "cadors"...
A propos du Buxheimer Orgelbuch
Même remarques que précédemment sur la nécessité d'un inventaire...
Quant aux interprétations, je pense qu'il faut partir de certaines interprétation sur un orgue portatif pour se faire une idée de ce que doivent donner les pièces de ce recueil. Et là le maniement du souflet joue un rôle déterminant pour rendre le son vivant.
D'autre part, pour ce qui concerne les doigtés historiques en usage c'est sans doute dans ce type de répertoire que les passages de 3 par dessus 4 dont on trouve un vestige dans Dirutta ont du apparaître, il faudrait donc trouver des interprètes qui les ont mis en pratique et il faudrait des vidéos centrés sur les mains. Il m'est arrivé de tomber par hasard sur de tels exemples malheureusement je ne les ai pas notés scrupuleusement.
Voir les interprétations de Ton Koopman sur l'orgue du triforium de la cathédrale de Metz, ce musicien maîtrise les doigtés historiques mais je trouve que ces interprétations demeurent assez raides et je me demande si le remplacement des souffleries manuelles par des ventilateurs électriques n'affecte pas gravement ce type de musique. C'est une question, je n'affirme rien. Je dis ce que je ressens, faute de pouvoir voyager dans le temps, on n'aura jamais de certitude. Et il faudrait commencer par se faire une idée précise des instruments dont on disposait à l'époque soit en 1450 et 1470.
Or les orgues "portatifs" et les "positifs de table" dominaient et pour les orgue de tribune il ne reste guère que l'orgue de Valère à Sion et celui de la cathédrale de Rysum.
Voir à ce propos ma consultation de ChatGPT...
Ce dont je suis sur à propos de cette vidéo c'est que le chant grégorien a été revu et corrigé par Solesmes. J'ai travaillé un peu l'orgue avec Marcel Pérès et j'ai suivi de loin ses travaux sur le sujet. Bref le "grégorien" dans ce cette vidéo correspond assez parfaitement au mot de Cambronne...
Il faut sans doute se fier à des trios d'instruments à vent mais celui-ci me paraît encore trop sage du point de vue du caractère dansant. La musique du moyen âge ne manque pas de nostalgie mais je crains que l'on ait trop tendance à la dramatiser et donc à la rigidifier...
Une pianiste romantique coréenne déchaînée !
Sa fiche Wikipedia est des plus sommaires et son site perso ne donne aucune détail sur les conditions de sa fuite à 12 ans en France et de son caractère rebelle. Si ma mémoire est bonne sa première prof ou sa famille d'accueil auraient voulu la renvoyer en direction de ses procréateurs et je ne retrouve pas ma source.
En revanche, je viens de découvrir qu'elle serait devenue moniale bouddhiste... Bon c'est promis je m'abstiendrai de tout commentaire en vous laissant seuls juges...
Les confidences d'un jeune prodige de l'orgue à propos notamment de l'improvisation
Ce que j'ai trouvé intéressant c'est son expérience harmonique particulière de l'accompagnement aux messes qu'il a pratiqué avant son entrée dans un cursus parfaitement académique. Je n'ai pas tout écouté, les "vérités" dont il est question je les trouve un peut trop "lisses" pour mon propre goût.
L'Ecole française de piano avec un supplément sur une pédadogie chinoise
J'ai déjà consacré un article à cette femme qui m'apparaît comme une sorte de "génération spontanée" et qui a été à l'origine de toute la technique moderne et romantique du piano. Je n'ai pas eu le loisir d'imprimer les 730 pages environ de sa méthode. Le défaut de qualité de la numérisaiton de la BN est telle qu'en plus de la quantité de papier çà me coûterait une fortune rien qu'en toner.
Je crois que c'est dans cette vidéo que j'ai vu une HORREUR à savoir une femme qui en jouant je ne sais plus quel passage démontre que la technique en usage repose sur une ANOMALIE qui viendrait de Schuman. On la voit lever exagérément chaque doigt avant d'attaquer chaque note ! Comment ne pas comprendre que c'est parfaitement CONTRE PRODUCTIF ! Beaucoup de temps et d'énergie perdue sans parler du risque aggravé de taper à côté. Je reviendrai sur cette question à propos d'un claveciniste italien Mencoboni...
Une prof. du Conservatoire de Reims m'a enseigné selon la méthode Cortot en cours particulier. La greffe n'a pas pris et j'ai fini par congédier cette femme qui portait un nom germanique se traduisant par quelque chose comme "lourdaude"...
Colette Maze est un "phénomène historique" comme témoin d'une époque révolue, elle à 109 ans !
La méthode chinoise de Lang Lang
On m'a communiqué une méthode chinoise d'un certain Lang Lang qui vient de faire l'objet d'une traduction correcte. Je n'ai pas encore eu le courage de tout lire...
Je viens de découvrir ces 2 vidéos et j'ignore encore tout de ces 8 conseils, les "années de plomb" que vous vivons depuis 2020 en particulier continuent de me peser.
Cela dit j'ai sans doute croisé une des meilleurs pédagogue en matière d'apprentissage du clavier voici quelques uns des moyens de travail qui m'ont été enseignés comme étant les plus originaux en plus des classiques que tout le monde connaît comme le fait d'analyser une pièce avant de se jeter sur un clavier :
- Séparer les phrases et travailler chacune d'elle en commençant par leur dernière mesure et pratiquer à reculons par une demi ou une mesure ajoutée. L'astuce consiste à nettoyer devant soi pour n'avoir plus comme problème à résoudre que la "mesure wagon" rajoutée à l'arrière de cette "locomotive inversée".
- A chaque fois qu'on se plante dans une mesure (erreur de doigté, hésitation...), inscrire au moins 3 traits verticaux sur la mesure précédente et les rayer à chaque recommencement et si on a tendance à noircir le dessus des mesures précédentes chercher pourquoi çà cloche.
- Un tableau complet des inégalités selon le type de mesurage m'a été transmis mais qui a malheureusement été endommagé par la perte des caractère spéciaux, il faudrait que je puisse retrouver un scan au format image (??)
Un claveciniste italien hors pairs
Ce claveciniste ne semble pas pratiquer de "doigtés historiques" particulier pour la bonne raison qu'ils ne sont pas franchement nécessaires dans les pièces les plus élaborées de J.S.B et dans la musique française relativement tardive mais quel punch ! Et en articulant à minima !
La chose est particulièrement sensible dans cette pièce française joué sur un clavecin de Sergio Tombési de Macerata.... Soit la ville qui héberge la "boutique" de (...) Michel Formentelli... L'instrument datant de 1969 mon cher collègue venait, au mieux, d'avoir été conçu puisqu'ayant atteint 54 ans il doit être né en 1970.
Du coup j'ai cherché à en savoir plus sur ce "Tombesi" et je n'ai encore rien trouvé, il en existerai au moins 3 donc un universitaire. Bref, cela nous renvoie probablement à la "préhistoire" de la Bottega italienne de mon diffamateur et je sens que je vais en apprendre un peu plus sur l'histoire de ce "magasin"... Etait-ce un collaborateur de Bartholomeo le père. Je doute, il a travaillé pour Gonzalez qui lui a appris le métier et je ne sais pas grand chose de sa carrière en Italie. Si vous en savez un peu plus, prière de me "tuyauter"...
Enfin ce clavecin est un "bombe" !
A noter que ce claviériste joue sur des instruments assez typés et dans des décors baroques d'une grande qualité...
Ce sera tout pour aujourd'hui. Si je trouve le temps de développer cette page, j'indiquerai les ajouts et modifs dans une notice de mise à jour en début des rééditions éventuelles.
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