Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/07/2025

François Bayrou, la "Communauté des béatitudes" et (...) l'ex organiste de Nay...

BONI MENT CONTINUELLE MENT - Le Poing

Voici pour commencer une image qui résume bien le personnage :il n'y manque en arrière plan qu'une évocation, en toile de fond, du genre de sévices qui ont prospéré à Bétharram...

Les pérégrinations du Signor Bayrou m'ont rappelé le cas de l'organiste de Nay...

Me souvenant que l'actuel Premier Sinistre avait fréquenté un secte charismatique, j'ai fait des recherches et constaté qu'il avait eu des liens avec la succursale de la "Communauté des béatitudes" à Nay. Et oh stupeur je découvre ce dernier à fréquenté la succursale communautaire de Nay... Mais est-ce que cela concerne l'église où le fameux Antoine Giovannini a opéré ?

De plus je me suis demandé si les "propos homophobes" de cet organiste à l'égard d'un diacre aurait été en lien avec un "résidu" de la fameuse communauté.

La réponse est négative ! Voir en fin d'article pour ce qui concerne l'histoire de la fameuse "communauté"...

Concernant le personnage en cause je vous renvoie à deux articles antérieurs le concernant...

Licenciement de l'organiste de Nay : une analogie avec l'affaire d'un sacristain de Saint Nicolas du Chardonnet

Ce qui m'a frappé dans cette histoire c'est que le clergé catholique excelle à "perdre la face" quand il se mêle de limoger un acteur de son propre "personnel".

Je sais de quoi il retourne j'ai été moi-même "limogé" en 2002 par un curé que ses collègues trouvaient trop "paysanasse" (sic) en précisant qu'il aurait du terminer ses études à Lycée agricole d'Antibes. Je me suis abstenu de toute réaction judiciaire car en fait on m'a libéré, je risquais ma vie 2 fois par semaine sur une route de montagne hanté par des dingues du volant et on a mis du temps pour planter au voisinage d'un col des bites en plastique pour réfréner les ardeurs motorisées de quelques spécimens dont plusieurs se son fracassé dans ce secteur. Le facteur qui avait restauré le premier l'instrument que je dessers m'a dit avoir été frappé par la répétition de plusieurs enterrements de jeunes du patelin ayant péri d'un accident de la route en moto...

Pour ce qui concerne mon second patron, j'ai failli choir de la tribune lors d'une veillée pascale lorsqu'il a énoncé la thèse selon laquelle les premiers chrétiens se seraient inspirée de l'histoire de la flamme olympique à propos d'un rituel du rallumage de cierge pascal à partir d'un feu très naturel. Rien à voir ! A défaut de persévérer dans la voie de ses procréateurs il aurait pu éventuellement jouer les "Madame Irma" en cherchant à marcher dans le sillage d'une "Madame Soleil", sauf que visiblement il ne saurait avoir été très doué en matière d'analogie symbolique...

Une analogie flagrante entre l'abus commis par le curé de Nay à sa sanction judiciaire et ce qui s'est passé à Saint Nicolas du Chardonnet avec la fameuse histoire d'un certain sacristain.

Je résume, ce dernier étant "homo", il avait confié à une grenouille de bénitier avoir attrapé le HIV et la créature s'était empressée de rapporter au recteur les "mauvaises mœurs" de l'intéressé. Ce sacristain a gagné devant les prudhommes et a du obtenir des dommages et intérêts car il n'a pas été réhabilité que je sache...

Certains curés et leur hiérarchie sont restés "coincés" au temps de l'Ancien Régime où l'église catholique pouvait pratiquement tout se permettre...

Or le premier recteur de Saint-Nicolas du Chardonnet fut connu tel une "folle tordue" qui adorait faire virevolter son ostensoir comme en aurait usé une "vieille tante"...

Et ça c'est attesté historiquement et d'après ChatGPT on trouve une vidéo d'époque dudit balancement.

Saint Nicolas du Chardonnet est devenue a un moment donné la paroisse d'élection des "cathogays" parisiens. Elle a eu la particularité d'avoir à son service un organiste qui s'était plus ou moins "pacsé" avec un individu un peu trop bronzé pour un milieu caractérisé par une clientèle plutôt extrême-droitiste et il a fini par se faire jeter...

Ma source est un prêtre d'origine anglicane que j'ai du assister dans un procès en diffamation et son accusateur a perdu tant en premier instance à Montmorillon qu'en appel à Limoges...

Et tout avait commencé, lors de la conquête de cette paroisse par les intégristes, par le recours à une jeune "milice" hyper virile issue de l'ex Front National qui pour passer le temps (et sous l'influence d'un abus de mauvaise bière) se livrait à un exercice inconnu du Kama Sutra qu'on appelle "le petit train", l'expansion des chemins de fer ne datant que du XIXème siècle. Et ce d'autant plus qu'à ma connaissance ce recueil canonique est à dominante "hétéro" sauf pour une traduction douteuse venant du frère d'un certain cardinal, j'ai nommé Alain Danielou...

Dans ce cas de figure ma source a été les archives numériques du Gay Pied, archives disparues depuis plusieurs années.

Curieusement l'organiste donné d'un penchant sentimental a été remplacé par une dame très talentueuse qui porte le même blaze que l'éditeur d'un CD ayant immortalisé un opéra pour enfants de enfants de Mozart intitulé "Apollo et hiacynthus" qui fut enregistré dans une lieu parfois malodorant et pour lequel j'ai été employé à la maintenance de deux clavecins...

Description de cette image, également commentée ci-après

L'image est tirée de "Wikipédé", cliquer dessus pour lire la notice sur cet opéra.

L'éditeur en question s'est fait serrer par les bleus après avoir tenté des attouchements sur le gamin de la secrétaire d'un festival qui s'était spécialisé dans des concerts impliquant chorales style Knabenchor.

J'arrête là mes allusions car j'aurai un petit livre de souvenirs à écrire mais comme peu de choses de ce que j'ai en vue n'ont transpiré dans la presse locale et que les prémisses se situent bien avant le tout numérique...

Vous noterez seulement que Mozart a fait très fort, les Jésuites ont préféré s'en tenir à un oratorio mis en musique par Marc Antoine Charpentier sur les amours de David et Jonathan qui en tant qu'archers furent des guerriers sont sans doute à rapprocher des "chevaliers" que furent castor et Pollux. Je renvoie ceux qui pourraient avoir une idée de ce que j'évoque aux travaux mytho historiques d'un certain Bernard Sergent.

Puisque l'on parlait des modalités les plus originales d'un fief "intégriste" je n'apprécie chez eux qu'une seule chose c'est leur refus de la "vernacularisation" des offices, c'est plus confortable pour un organiste en prise avec le répertoire XVIIème car  pour ce qui concerne les abus en matière de "pédophilie" et l'hypocrisie qui en découle, ce sont probablement les "rois"... Sous ce rapport çà tend à sentir assez mauvais et les abus de ce style (avec en plus un commerce à base d'exorcisme) sont une particularité des "petites églises" et sur ce point j'en connais un rayon. J'ai gardé un dossier considérable...

Quid de la "Communauté des Béatitudes" ?

La Communauté des Béatitudes — Aperçu historique

  • Fondée en 1973 à Montpellier par Gérard Croissant (frère Ephraïm), d’abord sous le nom de « Communauté du Lion de Juda et de l’Agneau Immolé ».

  • Inspirée par le Renouveau charismatique catholique, mêlant vie communautaire, prière contemplative, liturgie d’inspiration orientale, et ouverture aux juifs messianiques.

  • Elle attire des laïcs, des familles, des frères et sœurs consacrés, et des prêtres — formant un mode de vie original à mi-chemin entre le monachisme et les nouvelles communautés.

  • L’histoire est marquée par un essor rapide, puis des critiques :

    • Problèmes de gouvernance, manque de discernement, et graves dérives (notamment liées à la figure du fondateur).

    • À partir des années 2000, des enquêtes ecclésiales aboutissent à une réforme profonde, avec une reconnaissance canonique plus stricte.

  • Depuis 2011, elle est reconnue comme « association publique de fidèles » de droit diocésain par l’Église catholique, après une vaste refonte.

La communauté à Nay (Pyrénées-Atlantiques)

  • La communauté s’est installée à Nay dans les années 1990 dans un ancien couvent (les Sœurs du Saint-Esprit).

  • Le lieu a accueilli pendant plusieurs années une petite fraternité de la communauté avec activités spirituelles ouvertes au public :

    • Liturgies, retraites, adoration eucharistique, accueil individuel ou de groupes.

    • Lieu de silence et de contemplation dans les Pyrénées.

  • Au fil des années, la présence s’est réduite, suivant les réformes et le recentrage de la communauté.

  • Aujourd’hui (2024–2025), il ne semble plus y avoir de fraternité active des Béatitudes à Nay. Le lieu a été soit fermé, soit transféré à un autre usage (potentiellement un projet diocésain ou associatif). Aucune activité officielle des Béatitudes n'y est actuellement annoncée publiquement.

En conclusion

La "filiale" communautaire de Nay n'a rien eu à voir avec l’église Saint‑Vincent de Nay où a sévi le fameux Antoine Giovannini qui, en plus de n'avoir pas su pratiquer l'obligation de réserve aurait été plus ou moins connu pour "fumer de la moquette". 

Toutefois, notre actuel "Premier Sinistre" a bien été un "client" de la succursale communautaire de Nay, il l'a fréquentée sans être impliqué dans son fonctionnement à ce qu'il paraît, on notera cependant une "polarité" envers des organismes qui traînent une réputation plus ou moins sulfureuse et ça ne semble pas l'avoir gêné...

En faisant mes recherches à ce propos je suis tombé sur un article indiquant que les premières plaintes au sujet de Bétharram remonte à 1950 et pour la "Communauté des béatitudes" il est mentionné 57 victimes d'abus en matière de "pédophilie". Mais comme chacun sait Bayrou affectionne ce type d'endroit assez pourri et n'y voit jamais rien même quand sa femme y fait le catéchisme ou que sa fille se trouve aux prises avec des pervers...

Je cite Wikipédé : Depuis 2008, de nombreux scandales émaillent la vie de la communauté, notamment la condamnation en 2011 de Pierre-Étienne Albert, ami proche du fondateur, pour avoir abusé de 57 enfants, ou plus récemment la mise en cause de trois prêtres, Dominique Savio et Henri Suso, ainsi que Bernard L

Il se pourrait qu'il y ait une erreur Dominique Savio est un saint italien né en 1842...

Quant à A. G. serait bien implanté localement et résiderait actuellement à Castelnau-Magnoac dans les Hautes-Pyrénées, il officierait régulièrement (?) à Fontenay-le-Comte (Vendée) il aurait été un ancien titulaire à la cathédrale de Castres, suppléant à Saintes, puis organiste titulaire à Nay,  et il officierai à Campuzan où il aurait été nommé organiste titulaire du nouvel orgue restauré (mai 2024).

Il s'agit d'un instrument de Victor Gonzalez datant de 1950 restauré dont voici la composition moins typée que celle de Nay :

La composition de l’orgue de Campuzan serait la suivante :

Grand Orgue (Clavier principal)
Montre 8’ (tuyaux principaux, flûte brillante)
Bourdon 16’ (flûte grave et profonde)
Prestant 4’ (tuyaux métalliques, clairon)
Flûte harmonique 8’ (flûte plus douce et harmonique)
Trompette 8’ (anche, son puissant)

Positif (Second clavier ou récit)
Montre 8’
Bourdon 8’
Flûte traversière 4’
Nazard 2 2/3’ (tierce)
Doublette 2’ (octave aiguë)
Voix humaine 8’ (anche)

Pédale
Soubasse 16’
Flûte 8’
Trombone 16’

J'ai mis mon propos au conditionnel car j'ai fait appel à chatGPT en tant que moteur de recherche fûté, et je n'ai pas pris la peine de lire les sources qu'il a utilisées.

Enquête sociologique sur les moeurs écclésiales de certains catholiques "sudistes"

Caricature religieuse et éducation civique

En tant qu'organiste liturgique, je vais finir par supprimer le final de la sortie car sitôt bâclée la dernière strophe du cantique post envoi (ex Ite Missa est) c'est un véritable charivari. Je dois ménager une pause de 3 à 5 secondes le temps de me vider la tête d'une "musique" assez vulgaire style Chez nous soyez reine (c'est 9 fois sur 10 un hommage marial) avant de pouvoir rétrograder d'environ 4 siècles pour m'accorder au style d'un Grand jeu ou d'un dialogue à la française.

Le charivari car les "bonnes femmes" en particulier ne peuvent pas attendre d'être sorties de l'édifice pour jacter voir même crier et je finis par me poser la question de savoir si cette manifestation de très mauvaise éducation ne serait pas le propre d'une mentalité propre à l'arrière pays niçois...

En effet, je pensais jusqu'alors que cette dissipation était propos à l'extrême Sud de l'hexagone et j'ai eu l'occasion de mentionner ce phénomène lors d'une conversation téléphonique avec un ami résidant en Occitanie et j'ai eu la surprise de l'entendre dire que non pas du tout, dans la région toulousaine, on respecte les lieux réputés saints et on attend d'avoir franchi le portail des églises avant d'échanger des propos on ne peut plus profanes.

J'avais imputé ce trait de caractère à une influence du climat. L'abondance de soleil fait que dans le Sud on a plus tendance qu'ailleurs à s'exhiber sur le forum et à éclabousser autrui de la toxicité des "moi individuels" une chose qui, en tant que venant d'une culture plus germanique que latin je vomis !

Un organiste d'origine belge qui s'est exilé dans le secteur d'Avignon m'avait confirmé cette tendance à laquelle il était lui aussi allergique. J'emploie l'imparfait car cet ami est décédé car en dépit de mes admonestation il s'est fait piquer contre le Covid 19 et il en est mort... Mais réflexion faite il ne m'a pas parler du type de comportement à l'intérieur d'une église et dès la fin (enfin presque puisque le phénomène arrive à couvrir la voie d'un instrument de 14 jeux...)

Les questions que je me pose

Alors j'en viens à me poser des questions :

  • Est-ce un phénomène propos la bordure Sud-Est de la Mare Nostrum ?
  • Est-ce spécifique à la région niçoise ?
  • Sont-ce là un type de mœurs catholique répandu côté italien qui aurait débordé sur le comté niçois ?

Avant qu'un curé d'origine chypriote ne m'incite à venir jouer le dimanche (et çà a commencé une première fois entre le milieu des années 90 du siècle passé et 2002 car j'ai été "limogé" à l'initiative de la fine équipe de partisans du Maire actuel qui a fait campagne contre mon premier patron (à qui on a reproché d'entretenir une "femme secrète") à ceci près que ledit maire n'a joué aucun rôle dans cette éviction. Et je n'ai retrouvé ma place qu'après le relevage par Formentelli du "biniou" et le 3ème patron qui m'a donné ma chance ne m'a pas caché qu'on avait fait campagne contre mon retour, s'agissant d'un excellent pianiste qui a fait le Conservatoire il a envoyé au bain les opposants. Il n'a pas trahi leur identité mais je sais que René Saorgin et le plus ancienne des sacristine ont été les intervenants les plus actifs tandis que la fine équipe qui avait assisté l'actuel premier magistrat (laquelle fut dirigée par un personnage "fumeux" et sa femme en arrière plan..) avait déserté depuis plusieurs années. n'est reparu qu'un ancien pompier bénévole ayant fait partie de la fine équipe à laquelle j'ai fait allusion mais très brièvement...

A noter qu'elle avait pendu à un platane proche de l'église un semblant de soutane noire armée d'un balai lors du changement de direction du patelin en 2002...

Objet de l'enquête

Je demande à ceux qui parmi mes lecteurs ont observé quelque part le phénomène que j'ai décrit de me signaler l'endroit, le nom du lieu suffisant.

Une question se pose : est-ce que l'on observe désormais ce type d'irrespect au Nord de la Loire et plus spécialement au voisinage de la Belgique dont je suis originaire ?

Je n'ai pas de souvenir précis de la manière dont les choses se passaient dans les églises de Nice car je ne fréquentais les églises que pour des obsèques et étant étranger à la région, je ne me souviens guère que d'une messe en l'honneur de Pierre Cochereau. Le style vernaculaire des offices surtout depuis Vatican II est calamiteux, cela dit la participation des fidèles sous la forme de "cantiques" est choses tardive. A mon avis çà ne date que de la période dite de la "restauration"... A ce propos je ne saurait trop vous conseiller la lecture de ce livre. Un OVNI en forme de Croix apparu à Migné apparu le 17 décembre 1826 a constitué à mes yeux un "trait de lumière" quant à la véritable nature de certains phénomènes (y compris les OVNIS imputés à des E.T.) et il est à noter que les couleurs traditionnelles de la Vierge Marie ne sont pas le blanc assorti d'une ceinture bleue mais le noir ou le bleu très sombre dans les icônes orthodoxes... Comprenne qui pourra !

L'obligation de réserve que m'impose ma "fonction" exclut que je m'étende sur ce genre de sujet par trop "ésotérique"...

La Rumeur de Dieu : Apparitions, prophéties et miracles sous la  Restauration eBook : GUILLET Claude: Amazon.fr: Boutique Kindle

Enfin j'apprécierai particulièrement les infos pouvant émaner d'Italie...

Vous pouvez intervenir anonymement, je demande simplement que l'on m'informe avec exactitude.

Merci d'avance !

 

27/07/2025

Réédition du "Tempérament Musical, philosophie, histoire, théorie et pratique" (KDP/Amazon)

Le tempérament musical : philosophie, histoire, théorie et pratique

Les derniers exemplaires (moins d'une dizaine) du 3ème retirage sont disponibles auprès de la Flûte de Pan ou la Librairie Monnier.

Plutôt que d'investir un peu plus de 1000 € pour un tirage de 100 nouveaux exemplaires j'ai opté pour une auto édition sur KDP qui rend l'ouvrage disponible en version reliée (couverture cartonnée) pour environ 50 € sur toutes les plateformes Amazon.

Mis à part la "galère" que fut l'ouverture d'un compte sur KDP, il ne vaut plus la peine de passer par un éditeur car les droits sont bien inférieur à 10  du prix public.

Il reste à faire la même chose avec la plateforme Ingram Spark qui sert uniquement les bibliothèques et les libraires.

Il n'est rien ne presse à cet égard : les bibliothèques universitaires ont fait le plein dès parution (1990). Il est donc paru voici 35 ans soit 10 ans de plus qu'un génération...

A noter que cet ouvrage figure dans le fichier d'un Conservatoire de musique marocain bien que les clavecins et les orgues soient plutôt denrée rares dans les pays d'obédience musulmane... Et j'ai bien d'autres projets éditoriaux car la musicologie n'est que l'une des cordes de le "luth" constituant mes lobbys.

Quand on me demande quels sont les sujets qui ne m'intéresse pas je réponds : les moteurs à explosion (c'est salissant, ça fait du bruit et c'est dangereux quoique j'adore les explosifs (dérivés de la "poudre à canon, thermite et "énergie livres" comprise entendu tant au propre qu'au figuré et (...) la physique quantique pour laquelle je n'ai jamais pu trouver la "porte d'entrée".

Off topic

Je soupçonne cette "physique dernier cri" de jouer un rôle très suspect dans le merchandising d'un certain "néo spiritualisme". A noter à ce propos que j'ai beaucoup d'estime envers un certain Philippe Guillemant et son intérêt pour tout ce qui relève des "synchronicités" (un domaine ultra passionnant qui m'est très familier car je fonctionne en permanence sur un mode "analogique") mais je me demande comment il a pu se persuader de ce que la conscience survivrait à la disparition du cerveau par le moyen de cette "physique" en laquelle les ondes et les particules sont réputées jouer à "cache cache"... A mes yeux les 3 combinaisons possibles du visible/invisible formel/informel (doctrine grecque dite des "3 mondes") suffisent pour cadrer ce qui relève de l'Etre d'une part (monde grossier+ monde psychique ou "intermédiaire" et du Non-Etre (monde spirituel invisible et informel) et cela suffit pour faire le tour de la physis dominée par ce qui est "métaphysique" méta=au delà)...

A noter que le Metaphysicon de Jean-Pierre Petit l'a limité à 2 dimensons. Comme son nom l'indique le Metaphysicon c'est la métaphysique à l'usage des cons !

A noter que Guillemant s'intéresse aux OVNIS mais je présume qu'il s'est planté : tout ce qu'on impute à des "E.T." relève d'une phénoménologie que la culture anté-islamique a parfaitement maîtrisé, je parle du monde des djinns... A noter qu'il est excessivement varié et ne comprend pas que des "anges" et des "démons". La clef, dans ce domaine, est à chercher chez jacques Vallée et un certain Bertrand Méheust...