27/07/2020
Incendie de Nantes : c'était bien une vengeance !
J'ai raté ma prédiction basée sur la dématérialisation du tableau de Flandrin intitulé Saint Clair guérissant les aveugles. J'ai pris pour du bon pain la fausse nouvelle apparue dans quelques articles, à savoir que l'on n'aurait pas découvert de traces d'hydrocarbures. En revanche, j'ai sans doute été le seul commentateur à vraiment déglinguer la thèse d'un triple d'un triple accident électrique.
On découvre que la procureur et la police ont manœuvré de façon très habile pour se donner le temps d'accumuler des charges suffisantes. Il se trouve que j'ai traité cette méchante affaire ailleurs et ma première conclusion était que c'était soit l'oeuvre d'un musicien soit celle du réfugié lequel désespéré de n'avoir pas été soutenu avait crisé pour finir par brûler ce qu'il avait adoré
Il est à prévoir que l'incendiaire sera interné
De toutes façons 10 ans de prison et 150 000 € d'amende pour un type complètement insolvable, c'est une plaisanterie. Je reste partisan de la peine de mort surtout pour les incendiaires. Irresponsable, je ne sais pas mais il est clair que ce type n'était pas net.
Ailleurs et dans un tout autre contexte que la musique, j'avais même prévu qu'on allait se débrouiller pour sans doute le déclarer irresponsable et, très probablement l'interner dans un hôpital psychiatrique.Tout cela je pourrais le prouver mais c'est égal.
Et c'est bien vers ce quoi on s'achemine.
J'ajoute que l'insistance sur la présomption d'innocence et le manège de l'avocat invitant les catholiques à faire preuve de miséricorde et quantité d'autres détails, notamment des contradictions du côté du clergé, témoignaient d'un gêne sensible.
Enfin et surtout de danger encouru de la part des associations prétendument antiracistes m'avait conduit à tout retirer par prudence.
Quelles conclusions doit-on tirer de cette assez sinistre affaire ?
Absence de discernement de la hiérarchie
La plus évidente est que l'ensemble du clergé a perdu toute espèce de discernement. L'a t-il seulement jamais possédé ? Je dois dire qu'en cette matière, même du côté de ce citoyens dont on a fait des "saints" je n'ai jamais rien vu de vraiment remarquable. Certains il est vrai, en matière de "morale" ont tendu à relativiser les choses, notamment en matière d'amour, j'entends sous ses formes vulgaire. Mais il s'agit de ce que j'appelle un "minimum syndical", car lorsqu'on cesse d'être prisonnier des formes religieuses ou traditionnelles (qui sont purement culturelles) on trouve cela franchement dérisoire !
Exploitation des bénévoles
Et oui, le réfugié était certes logé et nourri par des franciscains mais pas le moindre salaire de misère. C'est tout simplement HONTEUX ! Inutile de m'étendre.
ce que je préconise c'est que l'Etat s'abstienne de participer au financement de la reconstruction d'un instrument. Au fidèles catholique à payer, voir à demander des comptes à la hiérarchie.
Quelque part, ce qui est arrivé est un "juste retour des choses"
Pas besoin de dessin, vous m'avez fort bien compris ! Je suis navré pour Michel Bourcier, ses collègues et les amateurs de musique d'orgue mais oui, c'est bien un juste retour des choses. Le seul problème c'est que ça ne servira pas de leçon aux catholiques.
Que l'on répare la cathédrale, par respect pour ceux qui l'on construite c'est normal. Mais que l'on remplace l'orgue, je ne suis pas d'accord, on ne remplace pas un tel monument historique. Si le clergé de la cathédrale veut un nouvel orgue qu'il se démerde pour faire des quêtes, ce n'est pas aux citoyens, croyants et surtout athées, de payer les pots cassés. On ne peut pas foutre en taule les gens pour absence de discernement, en revanche on pourrait les punir en ne réparant pas certaines conséquences de leurs "boulettes". J'ajoute qu'il existe une solution économique c'est le système Hauptwerk, la seule chose coûteuse dans un pareil bâtiment c'est la sono !
Plus très frais le catholicisme...
Le poisson pourrit par la tête et côté catholique, je n'hésite pas à dire que l'on est en présence d'un cadavre assez nauséabond. Je ne parle pas des affaires de "pédophilie", cela fait 2 millénaires que ça dure. On devrait s'être habitué. En fait je sais que dans les familles bourgeoises et pas que, à la limite, on préféraient savoir le fils dans le lit d'un curé plutôt que traînant les estaminets car il risquait au moins d'y apprendre un minimum de civilités et éventuellement un peu de latin. Le moment venu, au sein des familles les plus huppées, on faisait dépuceler l'héritier en le confiant à une professionnelle des plus présentable afin, le cas échéant, de le remettre dans la bonne voie.
Que des curés soient "homos" ça ne me choque pas mais c'est interdit. La Genèse nous enseigne que Eve fut l'interlocutrice privilégiée d'un serpent. Il est donc tout-à-fait normal d'être attiré par des adolescents largement pubères. On parle à tort et à travers de "pédophilie" quand très souvent il s'agit en fait de pédérastie...
Je trouve du reste fort étrange qu'avec la publicité que l'on fait autour des abus sexuels des différents personnels enseignants, il se trouve encore des enfants pour n'être pas capables de s'y soustraire. C'était compréhensible, disons avant mai 68 pour faire simple. Encore que nos parents nous disaient : faites gaffe aux adultes trop gentils avec les enfants et on n'avait pas besoin de dessin...
Ce qui m'intéresse c'est l'orthodoxie en matière spirituelle, la MERDE remonte loin, elle commence avec l'instrumentation du christianisme par un certain Constantin dont on n'est pas sur qu'il ait été baptisé à l'article de la mort. Cela dit elle a vraiment commencé à croître et embellir au temps des pépinnides : c'est la France qui a fait la papauté telle que nous la connaissons, on peut donc dire que c'est la Rome vaticane qui est la "fille aînée de l'Eglise. Je renvoie les gens que cela intéresse à un livre signé Geneviève Beduneau intitulé Mystère et merveilles de l'histoire de France.
J'avoue que j'ai beaucoup de mal à concevoir de l'admiration envers les clercs patentés de la hiérarchie. J'en sais beaucoup plus qu'eux dans quantité de domaines, notamment en matière ecclésiologie. Il se trouve en effet, que je fais partie des gens qui ont été invités à faire leurs observations, avant publication, sur le livre de Mgr Michel Laroche intitulé La papauté orthodoxe, ouvrage dirigé contre le patriarcat de Constantinople. Lequel patriarcat est devenu un repaire de guignols sous influence car objet de pression du gouvernement turc. C'était travailler à l'entre de la Turquie dans l'Europe ou dégager. Le pariarcat avait envisage au moins deux solutions à se pisser de rire dessus...
Je tiens a préciser que si les milieux orientaux sont encore plus ou moins respirables, comme l'était encore relativement le catholicisme avant le XIIIème, toute forme religieuse, toute forme traditionnelle à caractère initiatique, présente nécessairement des limites. En ce qui le religion romaine, il convient de souligner que l'aristotélisme (relativement neutre) a dominé jusqu'à la Renaissance qui a infusé le platonisme. Lequel est un poison insidieux et finalement très violent de part son caractère excessivement idéaliste et assez franchement dualiste.
Il existe deux peuples qui se sont recommandés comme fils du Ciel : les chinois et les hébreux. Il va de soi que je préfère les premiers tandis que quant on me parle du second. Parmi eux, un certain Jésus est apparu comme un véritable "extra terrestre". Quant aux problèmes que j'évoque je suggère à mes lecteurs de lire attentivement certains ouvrages d'un certains Laurent Guyénot. Ce n'est qu'assez tardivement que le christianisme est devenu doloriste. Je pense en particulier au phénomène des "stigmatisations" qui repose sur une volonté de co-rédemption qui n'a pas lieu d'être. Je tiens ce mélange d'orgueil et de masochisme pour quelque chose d'assez franchement démoniaque.
La rencontre avec la tradition chinoise m'a probablement évité de me flinguer en raison de son réalisme non duel. Le bouddhisme m'a sans doute largement désintoxiqué sauf que je tiens le néo-bouddhisme occidental pour une immonde cochonnerie. Les lecteurs en quête de lumière sur ces questions sont invités à se tourner en particulier vers un auteur nommé Laurent Guyénot.
Les religions sont une chose : tout ce qui a un commencement doit avoir forcément une fin. Leurs ministres en sont une autre. En tant qu'organiste ce sont des paroissiens et surtout des "bonne femmes" qui ont contribué a me pourrir la vie. Il arrive en effet très souvent qu'elles exercent un chantage sur les curés quant l'organiste a une tête qui ne leur revient pas. Je pense en particulier à un certain Paul de Metairy, lequel, après une carrière sur le Cavaillé d'Avignon, qui fut quasiment une sorte de lit de roses, a connu les pires humiliations...
Je trouve que, dans certains cas, le métier d'organiste peut s'apparenter à celui d'un charmeur de serpent(e)s a sonnettes. Si je dois à toutes fins renaître, je choisirai le luth. Je n'exclus pas une persistance de la conscience après la mort, à défaut de paradis j'espère avoir mérité au moins une loge confortable avec air conditionné et rafraîchissement à gogo pour voir la suite de la très sinistre pièce qui se joue depuis des siècles.
Je regrette de ne pouvoir m'étendre plus longuement sur ce que j'ai évoqué. Hélas au moins 99% de nos contemporains sont à peu près complètement bouchés sur les questions que je tiens pour essentielles. A cause d'une approche excessivement sentimentale des choses. C'est insoluble !
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