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Manuscrits d'Enrevaux : la procédure est engagée
MAJ du 9/11 : les archives départementales du 04 ont accusé réception du mail. Cela change de la Mairie d'Entrevaux qui a bien reçu le sien en son temps comme en ont témoigné des réponses téléphoniques mais qui continue de faire la morte...
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Il faut espérer que la procédure administrative engagée pour obtenir la copie du rapport de Formentelli me mettant en cause est dans sa dernière ligne droite. Ma requête a été enregistrée le 3 novembre et je ne vois pas comment on pourrait s'opposer à la communication réclamée. Tout à présent se passe par "télérecours", l'affaire est simple et j'espère qu'elle aboutira rapidement en début d'année 2024.
Pour les MS d'Entrevaux dont j'ai suscité le retour en 2004 des mais de feu Roger Greaves qui en avait la garde, j'ai engagé les hostilités le 23 octobre par une LR avec AR en direction du Maire concerné en précisant qu'en l'absence de réponse dans un délai raisonnable, je serai contraint d'engager une requête devant le T.A. de Marseille. Auparavant il faudra sans doute requérir un avis de la CADA mais bon je commence à être rodé... Et si j'étais en ville je pourrais ouvrir un cabinet d'écrivain public spécialisé dans ce genre de chicanes...
J'ai demandé par le même courrier au procureur de Digne de mettre son nez dans l'histoire, il m'a répondu également le 3 courant être incompétent et m'a renvoyé vers le Conservateur des archives départementales du 04.
Je suppose que pris entre deux feux le Maire va finir par bouger mais dans le Sud, zone réputée pour ses pratiques "clientélistes" plus ou moins régulières rien n'est jamais gagné...
Mais enfin, ces manuscrits existent et n'ont rien de "fantômes" et il va bien falloir qu'il réapparaissent et je suis le seul musicologue à n'avoir pu approcher ces documents. En effet, je viens d'avoir la preuve qu'un collègue a pu en avoir des photographies. Laurent Beyhurst a consacré une thèse de 578 pages aux arrangements pour claviers des oeuvres théâtrales de Lully où figurent des photographies du MS Clermont.
Je rappelle les faits : début 2005 Greaves est passé par un notaire pour une restitution "sous conditions" des 2 manuscrits. Quelles sont ces conditions ? Mystère et boules de gommes. Tout ce dont je suis certain c'est qu'il existe dans l'étude notariale la plus proche d'Entrevaux un acte dont la teneur est évidemment tenue secrète mais bon la secrétaire, questionnée par mes soins à au téléphone vendu une partie de la mèche.
Bref, il n'y a pas d'autre solution pour rattraper une éventuelle "connerie" que de faire en sorte que les MS rejoigne promptement les archives départementales. Le cas échéant, il faudra payer ou se déplacer pour les photographier mais au moins il seront à la disposition des particuliers et l'on trouvera bien un moyen de diligenter quelqu'un pour obtenir une copie afin de restituer ce qui manque encore.
Notez que si vous connaissez des histoires comparables qui restent à résoudre, je peux vous conseiller, voir agir en vue d'une régularisation.
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Rappelle d'une vieille histoire très caractéristique de la mauvaise gestion des fonds patrimoniaux hexagonaux
Je rappelle certaines affaires fameuses comme la privatisation de certains fac similé d'après des trésors musicologiques de la B.N. par Minkoff qui a gagné une fortune grâce à une complicité soutenue par une alliance avec un conservateur à ce que j'ai ouï dire. On a même évoqué une "alliance matrimoniale" avec la famille, enfin le problème c'est que tout le monde sait qu'il se serait agi d'une entente exclusive et sans contrepartie pour la B.N. tandis que les particuliers ordinaires doivent payer des droit à l'image prohibitifs pour reproduire un document ancien en fac simile.
Le résultat a été des publications excessivement chères vendues à l'international et d'une qualité contestable avec des couvertures en matériau synthétique ayant tendance à se coller les unes contre les autres.Fort heureusement le développement des photocopieuses industrielles et les progrès de la numérisation ont permis de compenser progressivement la "confiscation" évoquée au profit quasiment d'une seule entreprise.
Il y eu au moins deux génies assez "supranationaux" dans ce domaines des fac simile... Tous deux basés à Genève cité capitaliste et surtout calviniste à l'origine, ce qui explique certaines affinités à caractère "bibliques" que l'on retrouve aux USA sous une autre forme à la fois évangélique et sioniste mais ceci est une autre histoire expliquant un "incendie" en cours au moyen Orient...
A noter qu'on trouve beaucoup de choses de Minkoff et en musique sur Scribd, site payant sauf qu'en étant astucieux on peut s'abonner gratis pour 30 jours et se démerder pour ne jamais rien payer. Pendant longtemps ce site américain a capitalisé des scans réalisés souvent au mépris des droits d'auteurs avant d'imposer un abonnement. Et l'on fait des histoires à la Z-library mais pas à ce site... Très utiles dans certains cas de figure...
L'un d'eux est est un Russe de Rostov qui avait atteint une situation prospère dans les assurances. Fuyant bientôt des progroms en 1905, il vient s'établir avec sa famille dans la capitale suisse, après avoir passé par Berlin et Zurich. Ruiné par les emprunts russes en 1914, il doit faire face à un lourd emprunt et vendre son seul bien : sa bibliothèque. Il crée alors une importante librairie de livres d'occasion à Genève avant de se mettre à éditer quantité de fac simile. J'ai nommé les Editions Slatkine lesquelles ne se sont pas contenté d'exploiter des fonds anciens mais ont publié des travaux contemporains.
Mis à part un génie cosmopolite commun se traduisant par un certain sens des affaires la différence de niveau de "moralité" entre ces deux éditeurs est considérable...
Les triste fin des éditions Minkoff
Voir https://www-andreas--schlegel-ch
La fonction traduction de site de Google ayant été sabordée (au moins sur Firefox) j'ai traduit ;
Outre une captation exclusive des fonds musicaux de la BN, il y a eu également une mainmise sur certaines manuscrits de l'Imguinbertine au bénéfice exclusif d'un particulier dont j'ai oublié le nom en ce qui concerne une musique essentiellement vocale, enfin j'ai pu me démerder pour "libérer" aux moins les manuscrits d'orgue du chanoine Archimbaud car une niçoise dont j'ai été l'élève avait pu s'arranger avec Scott Ross pour photocopier pas mal de choses avant la mise en coupe réglée qui a suivi leur passage.
C'est de la "vieille histoire" mais elle mérite d'être rappelée : qu'il s'agisse de prédations de manuscrits musicaux ou celles d'orgues historiques du fond française par des éditeurs étrangers agissant en fraude nos fonctionnaires se sont avérés être des gardiens assez partiaux de nos richesses patrimoniales. Il serait tant que cela change mais sans doute ne faut-il pas trop rêver. La chute a commencé dès la disparition du célèbre général et après Chirac et Dominique de Villepin, pour ce qui concerne la diplomatie du Quai d'Orsay çà a été un gouffre sans fond
Enfin si vous connaissez des manuscrits de claviers n'ayant pas encore été restitués en édition moderne, vous pouvez contacter Pierre Gouin par le site canadien IMSLP, il se fera une joie de les mettre à disposition gratuitement d'un large public international.
La suite au prochain numéro...
08/11/2023 | Lien permanent
Un conflit entre l'organiste et le recteur de la Basilique ”met le feu” à Rocamadour...
Mise à jour du 14 octobre :
Au cas où on ne s'en serait pas rendu compte, je précise qu'on peut aborder sérieusement une question sans pour autant devoir renoncer à s'exprimer cum grano salis...
Un article est paru ce matin à 6h30 que voici :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/lot/cah...
Article qui commence ainsi : Une chatte n'y retrouverait pas ses chatons, un ecclésiastique ses fidèles et un musicien ses notes. Les relations entre l'association Cantica Sacra qui gère le festival de Rocamador (mais pas que) et le Sanctuaire de Rocamadour via son recteur sont devenues très compliquées. Au point de rupture avec une 20e édition du festival qui ne se fera plus avec les 2 protagonistes.
Notons que le journaliste de France 3 est poli, ainsi quand on évoque une situation confuse on parle plutôt de "truie" que de "chatte"...
La confusion, c'est effectivement l'impression qui ressort de cette affaire sauf que l'article éclaire un peu plus notre lanterne sur les circonstance et on commence à y voir un peu plus clair et j'ai retenu ceci : d'après l'article le Sanctuaire aurait rompu unilatéralement la relation avec l'organiste pour la partie de son job proprement liturgique. Je cite :
Un succès dû à l'association CSR et à son directeur Emmeran Rollin, ce que ne conteste pas le Père Millet arrivé comme recteur en 2018. "Je trouve cette situation dommageable. C'est un homme de qualité, un très grand organiste."
Les relations entre les 2 hommes et les 2 entités qu'ils représentent sont pourtant devenues impossibles. En 2020, l'une des conventions entre le sanctuaire et CSR portant sur le volet liturgique est rompue unilatéralement par l'Eglise. Emmeran Rollin ira même devant les Prud'hommes contre le Sanctuaire de Rocamadour et le Diocèse de Cahors, car il estime être devenu leur salarié. Il perd le procès en première instance juillet 2022 puis condamné en deuxième par la Cour d’appel d’Agen à payer 1 000€ à ses adversaires.
C'est là, que tout a commencé et on ne connaît pas le motif de cette rupture unilatérale. Or d'après une autre source l'organiste n'avait pas été "titularisé" ce qui implique un contrat de travail or l'artiste estimait être devenu le salarié du sanctuaire. Et ne l'étant pas il s'est planté devant la juridiction prudhommale. Et point important c'est ensuite qu'il a changé la serrure menant à la tribune.
A mes yeux de juriste, il est clair que l'organiste aura été mal conseillé et continue du reste de l'être par un avocat qui soutient la thèse de la propriété par l'association tout en voulant clamer le jeu en disant à présent qu'il n'aurait pas été dans l'intention de Emmeran Rollin de démonter l'instrument.
Je peux évidemment me tromper je ne suis pas omniscient. Je rappelle que l'orgue a bien été conçu pour le sanctuaire en remplacement d'un électropneumatique défaillant il a donc été voué en premier lieu à un service liturgique, il fait partie du Sanctuaire son intégration particulière le prouve et çà n'est absolument pas discutable.
Enfin il est curieux de constater que la Mairie aurait déclaré se désintéresser de l'instrument... Alors qu'elle en est indirectement propriétaire...
Je constate une fois de plus qu'on vit dans un monde où l'incompétence tend à affecter la couche sociale qui devrait incarner une véritable élitisme..
Il s'agit d'une déclaration assez malheureuse et les dérives peuvent malheureusement aller jusqu'à des provocations assez sinistres comme les parodies grotesques et plus ou moins apocalyptiques ayant entouré le JO 2024, encore que dans ce cas de figure il conviendrait de cesser de parler à tort et à travers de "satanisme" quand il ne s'agit que de fêtes carnavalesques hors saison. Passons...
Il manque une info et c'est le caractère et le tempérament de l'organiste, à savoir qu'il a bien fallu une raison ou au moins un prétexte pour que le Recteur rompe la convention dès 2020 portant sur la collaboration proprement liturgique.
Je veux bien croire que l'apparition d'un nouveau Recteur au tempérament rigide ait joué un rôle mais un élément "commercial" est à prendre en compte. L'association fait de l'argent avec les concerts et les concerts ne sont pas limités au Sancturaire et assez d'argent pour payer 3 salariés, est-ce à longueur d'année. L'organiste est inscrit sur un site pro bien connu :
https://fr.linkedin.com/in/emmeran-rollin-02528435
Sous la photo de l'intéressé ont lit ceci :
Organisation d’évènements culturels
Réflexion et mise en œuvre de nouveaux projets
Pratique artistique de haut niveau
Coordination et encadrement
Grande ouverture et curiosité du monde culturel
Grand sens relationnel et capacité d’écoute
Dynamisme et rigueur
Sens de l’organisation
Specialties: Utilisation Word, Excel, Filemaker, photoshop...
Permis B
Encadrement de camp de jeunes
Et on découvre le site web de l'entreprise : https://www.rocamadourfestival.com/ ainsi que la référence à une formation auprès d'un institut toulousain d'art et de désign (sic). Rien à voir avec une faculté de musicologie...
Et il s'agit d'une "grosse" et même "très grosse affaire".
Et que vient faire dans le tableau des spécialités informatiques, un permis B et surtout la mention d'une possibilité d'encadrement de camps de jeunes...
Tournez çà comme vous voulez, il y a là quelque chose d'assez "dissonant" de la part d'un musicien d'église.
Je dessers un orgue historique petit (un clavier) mais remarquable, il donne lieu a une série de concerts d'orgues en août. Il est clair que si je n'avais pas remis en valeur l'instrument dans les années 90 l'association paraliturgique qui s'est efforcée de faire revivre des traditions telles que la "fête des limaces" (Fête Dieu avec circuit de "reposoirs") personne n'aurait jamais eu l'idée de lancer ce festival. Or il est systématiquement boudé par les paroissiens tout simplement parce qu'il fait église comble et que les dimanches ordinaires on ne compte pas plus de 30 pèlerins en comptant les divers officiants du choeurs, les 2 organistes et les chanteuses.
Découvrant l'importance du festival en matière de chiffre d'affaire présumé, il n'est guère difficile d'augurer de ce qui a pu se passer quand bien même les torts seraient partagés.
L'idée que l'on peut se faire par la psychomorphologie en comparant les deux photographies dont on dispose et que le prénommé Emmeran est devenu quelqu'un de très "carré" qui ne se laisse pas monter sur les pieds.
A propos des 16 000 € pour dépoussiérer l'instrument
On apprend que le nettoyage des voûtes a été réalisé sans protection de l'instrument. Or le sanctuaire est classé monument historique la chose n'a pas pu se faire sans que la DRAC ne surveille l'opération, logiquement ce serait à elle d'assumer le nettoyage ou au fonctionnaire qui a fauté et ce au titre de la responsabilité civile (ancien article 1382 devenu 1240).
Un prénom à l'étymologie singulière
Emmeran (ce prénom délicieusement "médiéval") vient du germain "heim et hramm" Signifiant: "Maison et corbeau" Se fête le 22 septembre.
Tout un programme, assez peu latin et en Occident le "corbeau" est très mal connoté, perché sur une maison il est censé annoncer une mort...
Il n'y a qu'au Tibet que cet oiseau jouit d'une certaine faveur. On a noté qu'un rassemblement de ces volatiles se seraient donné RV sur la maison natale du "grand Quatorzième", je parle d'un certain Tenzin Gyatso envers lequel je nourris une estimée des plus mitigées (son frère ayant la réputation de s'être laissé manipuler par la C.I.A.). En effet bien que je sois son jumeau astrologique à 12 ans près jour pour jour et que je partage avec lui une partie d'un grand trigone entre Soleil et Jupiter, j'ai bien des raisons de douter de son inspiration. Quand on connaît les sombres intrigues qui ont remué cet "état profond" qu'a constitué le Potala on ne peut guère que rigoler des velléités quasi "démocratiques" du réfugie de Dharamsala...
Je ne sais pas comment l'histoire va se terminer mais si finit devant les tribunaux il existe 9 chances sur 10 pour que le jugement conclue à ce que la maîtrise d'ouvrage confiée par l'évêché n'implique aucune espèce de propriété.
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Notez que la topographie de Rocamadour est très caractéristique du point de son Feng Shui, le "pouvoir temporel" est figuré au sommet par un ancien château tandis que la figure de l'autorité spirituelle se trouve en quelque sorte quelque peu assujettie par son lotissement à un étage médian et apparaît comme étant un peu "écrasée" par un monument qui apparaît comme assez seigneurial.
Ce serait en fait une apparence trompeuse. Le château n'aurait pas été occupé par une famille aristocratiques les religieux en auraient été les occupants ou les protecteurs indirects. Quant à la Mairie qui fait office de "seigneurerie" lorsque j'ai pris des renseignements par téléphone le numéro que j'ai été appelé à composer à mentionné un site associé à un parking... Mais c'est une blague d'un annuaire facétieux puisqu'elle réside rue de la Couronnerie...
Quoiqu'il en soit et de toute évidence la "symphonie" que préconise l'ecclésiologie byzantine entre le temporel et le spirituel me semble un peu grippée. Et l'on observe, comme par hasard, que le Recteur de la basilique se ferait assister comme conseil d'un ancien préfet qui aurait été actif en Nouvelle-Calédonie, un département ayant réclamé de la poigne, et rien que cela suffit à indiquer un malaise, le préfet d'une république se voulant laïque n'étant pas prédisposé à pratiquer le genre d'onction que l'on qualifiait autrefois d'ecclésiastique.
Onction dont il ne reste souvent qu'une sorte de conformisme assez poltron dans la mesure où L'Eglise de France, de par la magie d'une fausse séparation qui l'a exonérée de la charge de conservation et d'entretien des monuments historiques qu'elle occupe gracieusement après qu'il eussent été mis à la charge d'un Etat assez dominateur se trouve véritablement dans la situation, c'est clair, d'une sorte de "femme entretenue", ce qui explique qu'un seul évêque ait osé protester contre les biais employé pour imposer la très funeste vaccination anti-Covid...
On notera qu'étant adepte et ex pratiquant de quelques "sciences traditionnelles" jadis en honneur, très attentif au symbolisme et donc aux "signes", il est des choses qui me sautent aux yeux d'emblée...
Pour trouver un site où les choses sont à leur place il faut se rendre à Illonse dans la Tinée mais si l'Eglise domine le tableau le simple fait de sortir muni d'un parapluie attire la foudre par temps orageux et il est arrivé qu'elle cause des incendies en passant par une cheminée... Comme quoi la perfection ne saurait habiter en ce monde...
Suite à une erreur de manipulation l'article qui figurait ici s'est trouvé amputé d'une de ses parties. Je profite de cet accident très involontaire pour résumer mon propos antérieur
J'ai été alerté d'abord par un article d'Actu Lot du 6 octobre apparu parmi les notifications de mon mobile et malgré une recherche limitée dans les 15 jours précédant un article du 3 octobre de La Dépêche du Midi m'avait échappé qui donne d'avantage de précision sur le fond. J'ai du faire une MAJ de la première version qui m'avait donné l'occasion de déborder avec mélange d'humour et d'ironie à propos d'une vieille charte censée régir les relations des organistes avec la cléricature des édifices religieux comportant des instrument dérivé de l'aulos ou, si l'on préfère de la flûte de Pan.
Là encore les orthodoxes ont eu la sagesse d'écarter de leurs temples un instrument fort peu appolinien et assez satyrique. Ce qui ne veut pas dire que le chant qu'un quatuor des plus virils puisse être moins sensuel que celui des instruments venteux... Tous intégrisme tourner en rond comme un chien jouant à se mordre la queue...
Un peu d'humour avant de passer aux chose dites "sérieuses"
Notez que quand on connaît bien les mythos grecs, ce n'est peut-être pas étonnant qu'il se passent parfois des choses "pas catholiques" dans les arrières plans de certaines tribunes. Je pense en particulier à une histoire qui s'est déroulée entre la tribune et le clocher de Saint Nicolas du Chardonnet quand la garde de l'église nouvellement conquise par des "'intégristes" fut confiée à une jeune milice du FN laquelle, sous l'effet d'un genre de spiritueux qui mousse, avait entrepris de se distraire en expérimentant une figure que l'on pourrait appeler "le petit train" et qui, à ma connaissance n'est pas répertorié dans un traité indien connu en temps que Kama Sutra.
A ce propos la philosophie chinoise qui est très non dualiste nous apprend que l'excès de yang peut entraîner des connexions que l'on tient pour hérétiques sauf qu'en l'occurrence le jeune milice n'a fait que redécouvrir la teneur authentiques des véritables "gauloiseries" qui ne furent pas ce que l'on imagine et nous avons comme témoins une demi douzaine de témoins antiques : Aristote, Diodore de Sicile et j'en passe... Chassez la nature, elle revient au galop !
Rassurez-vous si cette paroisse emblématique s'est également distinguée par le procès gagné par un sacristain qui avait eu le tort de confier ses soucis de santé à une grenouille de bénitier rapporteuse, si j'ai su que l'organiste s'était distingué en contractant avec un jeune bronzé une sorte d'union mixte, en sorte que ce fief était devenu un point de mire pour des "cathogays" bon ordre à été mis dans la paroisse, le collègue dont un prêtre anglais m'a raconté les exploits à été viré et une femme à poigne tient le magnifique instrument d'esthétique française historique...
Trêve de plaisanterie, ce qui se passe à Rocamadour est beaucoup moins drôle et quelque soit le point de vue auquel on se place, l'affaire présente de part et d'autre des côtés assez "raides" !
C'est donc à l'occasion de cette mise à jour qu'une fausse manœuvre a amputé la partie antérieure de l'article. Comme je suis reconnu par mes pairs comme ayant de grande facilités à écrire de façon assez fluide le dommage n'est pas grand. Je pense du reste que c'est mon "ange gardien" qui m'avait conduit à maltraiter mon article. Des bogues surgissent quand il m'arrive de trop dériver...
Le point de vue d'un juriste
Je ne suis pas seulement organiste, je suis également juriste et ait officié comme expert judiciaire près la Cour d'Appel d'Aix et j'avais conclu aux torts de l'organiste et de l'association lesquelles ne sont absolument pas fondées à revendiquer la propriété de l'instrument construit en remplacement du Puget électropneumatique de 1928.
Ce n'est pas parce qu'elle aurait assumé un crédit de 52 000 € (soit 1/8ème du prix totale de l'instrument, soit 420 000 € - 368 000 € comme produits des dons divers) qu'elle peut être fondée à vouloir démonter et emporter l'instrument on ne sait où. En effet même si des donateurs auraient, par contrat prétendu doter ladite association, de telles conditions seront vraisemblablement réputées "non écrites" si un tribunal civil devait avoir a connaître le conflit.
En ce qui concerne la question des relations "toxiques" entre le rectorat et les acteurs de l'association organisatrice des concerts de musique sacrée (chose dont je ne saurais juger vu que je ne connais pas personnellement les acteurs) on a évoqué un signalement au parquet. A ce propos, il en faudrait beaucoup pour que cet aspect de la question puisse donner lieu à un volet pénal.
Le recteur réclame un clef d'accès à la tribune, c'est son droit le plus absolu ne serait-ce que pour des raisons sécuritaires !
En résumé ,il s'agissait de remplacer un instrument paroissial à bout de souffle par un nouveau de sorte qu'en monopolisant la clef d'accès à son profit exclusif le collègue organiste a gravement fauté et il s'était déja mangé deux gamelles lors d'une précédente action devant les prud'hommes et en appel. On note en effet l'absence de "titularisation" qui suppose qu'il ait été salarié en tant qu'organiste liturgique. Je crains que le collègue ne se soit fait la "grosse tête".